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En marge des deux concepts bourrés d’inconvenances, on discourait gentiment comme à l’accoutumée, élaborant des hypothèses qui ne dérangeaient personne, comme par exemple l’emplacement du feu rouge de stop supplémentaire imaginé par les américains pour réduire les tamponnages, lesquels aidés de leur esprit pratique, avaient appliqué la bonne solution tout de suite. Le trou d’ozone arriva à point pour requinquer « la une » des journaux, et stimuler pour un temps les énergies, le temps nécessaire pour retomber dans l’oubli. |
Côté industriel, les pots d’échappement rejetaient peu à peu plus propre, ou moins sale, aidés par quelques entourloupes de constructeurs d’automobiles comme on l’apprit plus tard.
Tout cela pendant que l’on enfouissait ou déposait en secret d’horribles choses dans les sols un peu partout – chez les autres de préférence, en Afrique par exemple – ou que l’on déchargeait le pire en mer.
Sur une voie « durable » et donc vertueuse (..), les produits recyclables poursuivaient leur bonhomme de chemin, parallèlement à la création de molécules nouvelles. Leur nombre est effarent, la cause perdue d’avance face à des laboratoires naturellement insoupçonnables. . Qui donc irait incriminer un labo pour les produits de dopage ? la réponse peut être calquée sur la défense des grands couturiers, qui se désolent de la maigreur de leurs mannequins, trop maigres.. de naissance ! Tout semblait donc aller grosso modo pour le mieux sur la double voie du progrès et du désastre, |
Les pays pauvres furent invités à participer aux sommets mondiaux du commerce international – d’où ils étaient jusqu’alors exclus, car c’était plus commode de régler leur sort sans eux, ce que l’on comprend aisément.
C’était une gentillesse, et
absorbé par ci, rejeté par là, si fait que l’on n’en connaît pas vraiment grand chose sinon qu’il est responsable de tout, dont cet « effet de serre » planétaire.
Sous sa version C14 radioactive, le carbone ne se renouvelle plus après la mort d’une matière organique, et donc se dégrade peu à peu, il sert alors à dater les époques. Sont donc exclus du procédé, minéraux, métaux, poteries.. ; sous la forme de fibres microscopiques, on le moule pour former des pièces solides et légères quoique éclatant en mille morceaux avec possibilité de projection de poudre ultra fine et dangereuse, que l’on préfère taire (je tiens l’information d’un navigateur célèbre suite à la rupture de son mât). Sous sa version nanoscopique (*), on assemble ses atomes pour fabriquer des objets mécaniques moins que lilliputiens, ou l’on obtient des poudres d’une finesse extrême, susceptibles de traverser notre peau, comme toute matière de cette taille.
Combiné chimiquement avec l’oxygène, il devient (mon)oxyde de carbone, ce CO qui asphyxie tant de gens l’hiver pour un poêle ou une cheminée mal réglés, et peut former également du double oxyde de carbonne, CO2, l’autre terreur du moment
(*) nano vient de 9 ; 1 nanomètre = un millième de millionième, soit un milliardième de mètre = 0,000.000.001 mètre ou en écriture mathématique, 10-9.
A côté, on avait
Et là, mesdames et messieurs, l’incroyable s’est produit !
Je l’ai vu à la télé avec ma femme,
La bleugris derrière la rouge, la rouge derrière la bleugris.
DE LA MAGIE ; le journaliste en était lui-même gêné, ça se voyait, au point qu’avec ma femme, on a cru – mais on se trompait bien sûr – que c’était la même courbe que l’on avait coloré en bleugris et en rouge !
(*) Voir plus bas une autre courbe de glaciation, plus sûre.. car datant d’une époque où l’on ne se posait pas la question du réchauffement en ces termes.
Alors quelque chose de terrible s’est infiltré dans notre esprit.
Si il y a eu du CO2 et des réchauffements » en même temps, c’est donc qu’il y aurait eu avant nous autant d’autres civilisations (chuuuttt) qui, comme la nôtre, auraient disparu à force de produire du CO2 !
C’est si terrible qu’il vaut mieux penser à autre chose; par exemple à l’histoire du sel et de l’eau (l’eau dissous le sel ou le sel absorbe l’eau ?) d’où une idée bébête, et si c’était le réchauffement qui faisait apparaître du CO2 et la glaciation qui le faisait disparaître ?
Je ne cherche pas à minimiser l’action de l’humain, si mauvais que dit-on, Dieu a tenté de s’en débarrasser avec le déluge. Bien trop de dégâts sont occasionnés à notre pauvre planète.
Songez que pour moins d’un gramme, parfois quelques milligrammes qui le rendront riche, il est capable de ravager une montagne entière et ses plaines environnantes, en y déversant du mercure en souvenir. Il a zigouillé tout ce qu’il a pu, animaux, forêts, cours d’eau. Et en moins de 50 ans, a répandu ses traces malsaines sur terre et en mer jusqu’à ses fonds.
Comme dans les romans policiers, il y a trop d’indices et trop de preuves vers un seul coupable. A qui profite l’affaire ?
– le CO2 ne baissera pas, car il devait baisser de 3 % de 2005 à 2012 selon les accords de Tokyo, alors qu’il aurait augmenté de 20 % !
Les méga-réunions internationales ne feront jamais frissonner la planète et ses 7 milliards « d’occupants ».. en 2020, 3 milliards d’entre eux se réveillent et se préoccupent moins de la pollution que de leur croissance ! exactement ce que nous avons fait au 19me et 20me siècle ! il est vrai qu’ils disposent d’une avancée technologique que nous n’avions pas. N’empêche, en Chine, c’est la catastrophe et ils sont déjà contraints d’y remédier.
Depuis moins de 2.4 millions d’années (*) jusqu’à nos jours, il y aurait eu 25 grandes périodes glaciaires et d’innombrables petites et moins encore, qui peuvent survenir en moins de cinquante ans.
(*) 2,4 millions d’années, c’est rien, les dinosaures – pour simplifier et se souvenir d’un nombre crédible – c’est moins 100 millons d’années !! Notre Terre, pas loin de moins 5 milliards d’années. Une terre au milieu de notre galaxie, la voie lactée, qui ne comporterait pas moins de 200 milliard d’étoiles comme notre soleil.
Pouvons nous vraiment prévoir le temps dans ces conditions, alors que tout tourne, se déplace, interagit..
Les Faux Culs
Qui produit les monstrueuses quantités de CO2 émises par la Chine et les pays émergeants pour fabriquer les objets destinés aux pays riches ? voilà une bonne question. Et depuis nos politiques sont moins chauds pour la taxe carbone qu’ils voulaient faire payer aux autres. Et les jaunes rient.
(*), mise en veille, industrie aussi, énergies renouvelables..). Nul besoin de Tokyo ou de Copenhague pour cela : la baisse de la consommation des voitures et l’émission de CO2 est engagée depuis bien longtemps avec de bons résultats, dont en trichant sur tout, la consommation et les émissions réelles.
VOUS N’AVEZ RIEN REMARQUE ? Ils ont compris ce que tout être sensé de ce bas monde comprend, car voyez vous,
Mais au fait, deux degrés de plus que quoi ??
Pareille augmentation été annoncé comme catastrophique par Madame « Science-Boule-de-Cristal ». Bref, ça navigue à vue et dans tous les sens. et cette fois, ON VOIT LOIN.
Si seulement ils faisaient des téléconférences, ce qu’ils prônent pour les autres, mais non, eux qui ne sortent pas sans leurs armadas de bateaux, de chasseurs et gros porteurs, d’équipes de préparation et d’inspection, de véhicules pas vraiment économiques, une armée postée plusieurs km à la ronde, EUX SE DEPLACENT!! En voilà des dépenses colossales qui seraient plus judicieusement utilisées ailleurs, en voilà du kérosène et du super brûlé qui participe au réchauffement !
Tant pis pour les déficits, la sous-nutrition dans le monde mais parfois dans leur pays aussi.. ça attendra bien un peu.
Quand on y pense, l’une d’elles rôte 400 à 600 litres de méthane par jour; incroyable (ça ne devrait pas être permis). Avec les vaches dont on modifie l’alimentation avec des farines animales qui font moins péter, on s’apprête à élever les poissons avec des herbes – dont le fourrage que ne mangeront plus les vaches, ce que fait naturellement la carpe qui broute les talus herbeux, pendant que leurs malheureux congénères d’élevage sont au régime des farines animales à nouveau autorisées par L’Europe de Bruxelles. Dommage qu’elle ne fasse pas de lait, la carpe. Elles auraient pu remplacer les vaches en attendant la vache transgénique qui ne rumine plus ; toutefois, le poisson transgénique brouteur d’herbes en est à ses débuts.. L’heure est à l’inventaires. Les tourbières ! elles doivent disparaître ! c’est dommage, au moment où l’on voudrait les réhabiliter, avec les zones humides, les bocages, les mangroves, la décomposition des déchets etc. Le mieux serait de tout raser, la boule à zéro ! le Sahara quoi, le Gobi, l’Arabie, partout. SEC et SAIN. Mais chaud brûlant, ce que l’on veut éviter. Ils ne savent donc pas, qu’en approchant une lisière de bois ou mieux, de forêt, on sent déjà le frais, et que ça produise ou pas du CO2, ça sent toujours le frais. Et que donc malgré le méthane et le CO2, mieux vaudrait faire de l’ombre, sous les frondaisons ou sous les panneaux solaires, où des hommes intelligents ont déjà pensé à cultiver. Bien que représentant moins de 5 % des émissions sur la planète, il était urgent de s’en occuper (voir ci-dessous). |
Il y a tant de statistiques, que l’on ne sait plus à quoi elles se rapportent.
Comme si cela ne suffisait pas, il y a aussi le protoxyde d’azote N2O, avec un pouvoir réchauffant 300 fois supérieur au CO2 (origine : chimie, engrais, fumier, culture du riz avec assèchement). article sciences 1242 mars 2021. l’installation « kolossale » allemande du sud de l’Espagne, un coin oublié par la pluie, donne une première réponse. Les habitants se seraient un peu révoltés, dit-on. Il faut dire qu’on leur avait déjà ajouté des serres, et qui sait, peut-être des golfs.. du coup ils n’ont plus d’eau. La solution est venue d’elle-même, si simple : si l’eau du nord de l’Espagne part au sud, « on a eu projeté » de placer un pipeline pour alimenter le nord. Venant d’où ? de Camargue, enfin, du Rhône. SI ! un pipe line sous la méditerranée, « ça eu été sérieux », mais ca n’est plus. Heureusement, car ils n’ont pas pensé au problème du delta du Rhône, déjà malmené comme tant d’autres qui ne rejètent plus suffisamment d’eau. |
Les expérimentations font rire ou effraient. En voici deux. La deuxième, « vache hublot » provient d’une vidéo canadienne, dont le lien est désormais inactif (à rechercher) |
Vache-bidon !
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Pour les études d’émission du méthane, rien de mieux que d’aller voir dedans. On plonge le bras dans le premier des quatre estomacs de la vache et on ramène les échantillons à analyser. Idem si l’on préfère dégazer, il suffit d’ouvrir le bouchon (oui, il y a en a un). Selon les chercheurs, elle vit normalement. A quand sur l’homme ? |
La terreur, toujours selon le CNRS, serait que du méthane stocké par la nature dans les glaces du fond des mers australes, s’échappe brutalement, car
les quantités estimées seraient de l’ordre de 500 à 2500 milliards de tonnes !!
heureusement, c’est peu probable. Mieux vaut y croire. En attendant les chercheurs cherchent car la vache à lait, c’est un bon sujet n’est-ce pas. J’ai vu que, parmi les expérimentations, figurait la photo d’une vache portant un gros tonneau de plastique transparent sur les dos. Sans doute a-t-elle un tuyau dans la bouche, avec des appareils, mais on ne distingue rien dans le derrière. A propos de leurs derrières, ils ont une utilité peu connue : aux temps héroïques, las aviateurs se guidaient au mieux et les anglais avaient constaté que les vaches se tenaient généralement cul au vent, du moins si il était assez fort, préoccupation première d’un pilote. Du coup, ils pouvaient corriger la trajectoire ! De tout temps l’homme le moins évolué s’est instruit de la nature à un point difficile à imaginer puisque tout est ignoré, balayé par le progrès. |
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Les incendies compteraient pour 40% des émissions de CO2 fossile, soit pour 86680 feux comptabilisés en 2005 sur la planète, un rejet de 2.7 à 3.4 milliards de tonnes de carbone. La déforestation durant laquelle le carbone serait relâché dans l’atmosphère compterait pour 20 % des émissions de gaz à effet de serre. Comme avec les sondage, le total des causes de production du CO2 recensées vont sûrement atteindre très prochainement les deux cents pour cent ! La chasse est ouverte. On piste le CO2 partout.
Aux temps immémoriaux, de gigantesques et « vraies » forêts qui recouvraient la planète, et l’on aimerait bien les revoir en partie. Obligatoirement classées au patrimoine mondial de l’UNESCO pour le tourisme, pour le budget et les emplois de lUNESCO. Ce serait bon pour l’économie, et sain pour tout le monde.
Ces forêts dit-on, ainsi que des micro-organisme, nous ont tout de même apporté les gisement de pétrole, de gaz, et bien d’autres choses, de la vie, des terres cultivables, de tout ! qu’était donc alors le trou d’ozone et le CO2 ?
Mais les forêts brûlent, et toute incinération produirait des toxines dont la « dioxine » de triste mémoire (Seveso, Italie). Une autre voix s’est alors écrié |
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« l’étude diligentée par le gouvernement prévoit que le changement de climat causera des dizaines de milliards d’euros de dommages annuels d’ici 2050, frappant les propriétés, l’élevage, les routes, etc. Plus de 140.000 maisons des région aux côtes plates et sableuses seraient submergées ou s’écrouleraient dans la mer, pour un coût de 35 milliards d’euros (dont les propriétaires du Languedoc Roussillon). Le Nord-Pas-de-Calais, Poitou-Charentes et Aquitaine sont aussi considérées comme des zones à haut risque. 400,000 autres habitations seront menacées (face subsidence) par la modification des sols argileux sur lesquels elles reposent; selon l’Observatoire National sur les Effets du Réchauffement Climatique. Le Loiret, Indre-et-Loire et Maine-et-Loire, plus les Ardennes et le Puy-de-Dôme sont courent le plus de risques. 10% d’élévation des eaux des rivières est aussi prévu pour un montant de 77 millions d’euros annuels, en dégâts des eaux le long du Rhône, de la Loire et de la Seine. Près de 390.000 propriétés risquent l’inondation. La méditerranéen sera frappée par des tempêtes et des vagues de chaleur comme celle de 2003 tueraient quelque 15.000 personnes « . Ils ne se mouillent pas trop.. « les régions basses », qui l’aurait cru ??
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Elles mériteraient toutes les attentions : l’aération et la ventilation naturelle de l’habitat, les balcons et portes-fenêtres obligatoires (HLM compris), multiplication des espaces publics ombragés, boisés et couverts, bien aérés, où l’on pourrait mieux vivre et aussi s’assoir partout (parapets, blocs de bétons..), rafraîchisseurs. Alors que par crainte on coupe les platanes au lieu d’en planter, que disparaissent les square, l’eau gratuite urbaine, les banc, l’ombre, les petits parcs, pour les promenades détente, les enfants, les vieux et les autres, coincés dans leur cube de béton sans balcon. Repenser l’architecture dans ce sens afin de ventiler les villes et les immeubles en freinant ces impossibles courants d’air entre immeubles. Avez vous jamais eu l’envie d’entrouvrir la porte du palier pour aérer l’été ? c’est impossible: le courant d’air d’abord, la perte d’intimité ou l’insécurité ensuite. Rien, rien n’a jamais été pensé pour pallier cela, ne serait-ce qu’avec une simple ouverture haute et modulable au-dessus de la porte d’entrée.
– On ne jure que par la ventilation forcée, filtrée, aseptisée (ce dont je doute à voir les saletés qui s’y logent et des filtres qui ne seront jamais remplacés), loin de pouvoir égaler un bon air vif.
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AIDER LE NOUVEAUX AGRICULTEURS ? il leur faut un village pas loin, avec des services, et un environnement convivial de soutien (plusieurs dizaines se suicident chaque année). Ils ont aussi droit aux enfants et aux vacances.
Réhabilitation d’une campagne modernisée. Quelques expériences sont déjà tentées : Locaux fournis par la mairie, regroupement de services au sein d’un village et entre
villages voisins, tels que classes scolaires, magasins mixtes (bar, biblio, Poste, cabinets médicaux divers, pharmacie..).
Problème de l’ordre public et de la justice.
Petites exploitations groupées en coopératives avec vente locale directe.
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Penser les axes de circulation dans le même esprit, celui du confort des utilisateurs et de leurs besoins. Les platanes pourraient revenir, y compris sur les autoroutes, dès lors que les bas côtés sont protégés par des murets ou des glissières. Les arbres empêcheraient aussi peut-être qu’un véhicule traverse le terre-plein pour finir sur l’autre voie. Des aires modestes et ombragées pourraient émailler les nationales où les poids lourds rouleraient en convois automatisés comme des chenilles processionnaires. Des tests sont en cours je crois (2018) Ce n’est pas utopique, c’est facile à organiser et à aménager, avec aires de dépassement. Généralisation des cellules photovoltaïques sur les toits des voiture ? en l’état actuel de rendements (2020), ce serait un appoint pour ventiler à l’arrêt. Et en équiper des abris pour la même raison, faire de l’ombre et rafraîchir.
COTE EAU.
On aura peut-être appris à faire pleuvoir ou on vénèrera Tlaloc, le dieu de la pluie Maya. |
Coté eau (suite). Dessaler l’eau de mer n’a pas que des avantages, loin s’en faut, . D’improbables solutions pourraient être tentées mais la réalité est que l’on rame très fort à contre-courant – si l’on peur dire – car l’appropriation sauvage de fleuves et rivières (dont barrages) prive bien des peuples de l’eau qu’ils avaient avant. Les grands bassins d’eau sont bien connus, de même que les égoïsmes nationaux. Le plus fort prend tout. On assiste hélas à l’inverse de ce qu’il faudrait entreprendre, car nos régents ne savent plus investir comme ont pu le faire leurs prédécesseurs couronnés, à qui l’on doit les canaux ombragés que l’on a laissé tomber, les routes bordées de platanes, les grandes places aussi, les fontaines et les bancs. Pour cela, il n’y a plus un kopeck, car ce qui ne rapporte rien est banni, c’est écrit dans la bible.
Un Etat laïque humaniste devrait s’en préoccuper ; hélas, Dieu sait – excusez la formule – combien le mot Coté nourriture. Si il reste de la terre et si on arrose, ça ira. A ce sujet, les productions de salades et légumes en goulottes étagées et en étage d’immeuble, sont vantées pour leur faible consommation d’eau recyclée. Après des decennies de serres pleine terre, puis avec des pots contenant encore un peu de terre, c’est à coup sûr l’avenir : les USA, pour ne nommer qu’eux, voient déjà grand.
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Des petits malins sont toujours là au bon moment pour racler la manne financière que nos politiques dispensent généreusement, et en toute bonne foi. personne ne sera responsable.
Les apprentis sorciers. On a l’impression que le pire se prépare; devant l’impossibilité de maîtriser le CO2, on cherche à le capter, ce qui n’est pas critiquable, pour le réinjecter à grands frais dans le sous-sol, carrières, terrains, fond des océans ..
en l’injectant par le biais de forages. Là, c’est déjà moins bien car il y a déjà suffisamment de déchets radioactifs, chimiques et tant d’autres ainsi masqués.
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Pour faire pleuvoir, Les USA on déjà expérimente l’iodure d’argent au Vietnam.
C’était il y a déjà bien longtemps; les malheureux qui se douchaient déjà à la dioxine et défoliants divers, ne l’ont pas même remarqué.
Il faut dire qu’à l’époque, il survivaient pratiquement sous terre. La technique est le « cloud seeding » (l’ensemencement des nuages).
Il y a aussi la « glace sèche« , l’azote liquide, des particules d’aluminium (ça serait festif..), des petits miroirs
solaires, un grand miroir solaire (2.000 Km de diamètre, positionné à 1,5 de Km de la terre..), la fertilisation du plancton.
En voilà une bonne idée, car du plancton, il y en aura bientôt plus. Bref, on entre dans l’ère de la « Geo Ingénierie« . Qui ne sera pas celle des G O,
les gentils organisateurs du film, « les Bronzés » bien que l’on puisse finir tous bronzés pour de bon avec leurs C…
Selon d’autres savants, ces projets (déments ?) pourraient bien avoir un résultat définitivement catastrophique par leur effet direct ou par la recompositions des produits dont on ignore tout, On les croit dans peine. Dire qu’on se congratule dans de glorieuses et si enrichissantes réunions portant haut l’écologie. (*) 1 / il faut savoir que les gouttes d’eau, dans une atmosphère humide (saturée de vapeur d’eau), se forment autour « de fines particules (débris, poussières, grains..),quand l’air se refroidit. On ne sait pas se qui se passerait si ces débris minuscules n’existaient pas. 2 / on lance déjà des fusées contre la grêle ou produisons des fumées contre le gel dans les champs (pneus brûlés qui, on s’en doute, ne lâchent rien de propre). Les produits pour faire pleuvoir sont donc déjà utilisés, dont à grande échelle en URSS et en Chine. Si les pluies deviennent acide (souffre etc..) il faut envoyer d’autres produits pour empêcher de pleuvoir ou neutraliser l’acidité de la pluie. Une série américaine s’est inspiré de cette extrême éventualité, imaginée sur Mexico. |
On a connu dans la passé, sous le président d’Estaing, les « avions renifleurs » qui étaient sensés détecter le pétrole. Voici les bateaux souffleurs imaginés par un américain. Une flotte de « plusieurs milliers de navires » … « équipés de gigantesques cylindres » qui pulvériseraient.. « d’énormes quantités d’eau de mer ».
Comme on le voit, ça ne manque pas de panache ! Des croisières touristiques permettraient d’aller voir le spectacle et se rafraîchir un peu. Une nouvelle forme de thalassothérapie.
Comme solution palliative, je suggère de tailler la planète en forme de cube. A n’en point douter, le brassage de l’air induit par les turbulences nouvelles serait de nature à disperser les gaz et à perturber leurs effets désastreux. A tout le moins, on peut prédire qu’il y aurait un grand changement. On verrait bien après, si il y a des survivants.
Si l’homme avait déjà modifié le climat, la raison en aurait été d’avoir rasé toutes les forêts, pratiqué l’agriculture intensive (on rase pour tout dégager), d’avoir urbanisé à outrance pour satisfaire une croissance irraisonnée de population, d’avoir surconsommé l’eau disponible (dont les nappes phréatiques qui ne peuvent plus se renouveler !!, Sahara inclus), d’avoir bétonné et goudronné ? Mais ils étaient si peu nombreux, à l’époque.. Cependant ces théories subsistent, par défaut ! dont l’élevage nomade intensif qui aurait rasé le Sahara. au cours de millénaires ?Ponctuellement, l’homme peut modifier son environnement, en transformant en désert des zones déjà fragiles. Car il aurait beaucoup de peine à le faire dans les zones tropicales
et équatoriales ! mais qui sait, avec du temps et des moyens colossaux.
Il l’a bien fait à petite échelle, du côté de la Californie. La densité de population d’alors était plus faible, mais avec l’arrivée du tracteur…
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Ca s’accélère ? c’est indiscutable, mais pour l’explication, on le saura plus tard, peut-être.
Pas nous en tous cas, qui avons cependant vécu bien des changements. 50 ans plus tôt, les océans étaient exempts de produits non biologiques ! mais je souhaite séparer l’écologie, directement vérifiable dans une vie, du réchauffement climatique
Un géographe interrogé sur le réchauffement répondit « le permafrost a déjà dégelé au cours de l’histoire de la planète. Rien de nouveau, mais une évolution périodique. Le journaliste: à quand la prochaine glaciation ? là n’est pas le problème, c’est de la diversion. L’important est de savoir ce que l’homme veut faire avec sa planète, si il veut achever de la détruire. J’ose préciser sa pensée ainsi : « réchauffement ou pas, CO2, méthane ou pas, la planète souffre de notre action et ça va aller de mal en pis pour nous aussi ». Mais pas à cause du réchauffement, qui sera ou ne sera pas. |
Des scientifiques indépendants, agacés, volent dans les plumes de leurs trop complaisants confrères ! ils proclament haut et fort que personne ne peut prévoir l’évolution du climat de notre planète ! il était temps ! tenter de faire croire le contraire est une escroquerie, dénoncée depuis toujours par le célèbre physicien Allègre (ex ministre de l’éducation nationale qui voulait « tondre le mammouth » (l’éducation nationale). |
Cycles de glaciation.
Depuis un million d’années, il y a des cycles de 120.000 ans environ. Le dernier cycle a commencé il y a 115.000 ans et s’est achevé depuis 11.000 ans.
Il y a bien entendu de mini périodes entre temps, par exemple tous les 25.000 ans selon un chercheur de la base du pôle sud qui riait bien de nos problèmes politiques de réchauffement, et de bien plus grandes
périodes, en centaines de millions d’années, qui correspondraient selon une théorie, à chaque traversée des bras de notre galaxie par le système solaire
Il y a déjà eu plusieurs fois des volumes de glaces aussi bas et plus bas que ce que nous connaissons aujourd’hui, ce qui correspond à des hauteurs d’eau égales ou supérieures ; à l’inverse, au cours des grandes glaciations, le niveau d’eau était bien plus bas pour de couches de glace inimaginables : il y a 60.000 ans, le niveau des mers et océans était 150 mètres plus bas qu’aujourd’hui,. (Australie et Nouvelle Guinée étaient alors réunies). En remontant jusqu’à un million d’années, on constate que Il y a 20.000 ans (préhistoire), il était 110/120 mètres plus bas en méditerranée. La remontée des eaux s’est produite en 12.000 ans pour l’essentiel, soit 100 mètres de repris, mais plus faiblement après sur les 6.000 dernières années. Ce qui explique que |
Rien sur la qualité de vie (espaces verts, espaces tout court, etc.), rien sur la qualité des bâtiments (matériaux, conception technique et visuelle, hauteurs de plafond, placards, surfaces, balcons, insonorisation..)
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Est-ce plus difficile que de vouloir sauver la forêt amazonienne ? |
Il n’y a pas d’autre alternative dans cette société qui se targue d’être la plus tolérante jamais connue, mais où, dans les faits, l’intolérance est de plus en plus visible et violente. Non par les gouvernants que l’on accuse bien commodément, mais par les peuples eux-mêmes.
Par quelle vertu la pizza est-elle devenue verte.. |
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Des parcs, des arbres, des jardins, des places et des placettes « végétalisées », pour la détente, le bien-vivre. Non, c’est fini tout ça, ça coûte et ne rapporte rien. Du bien être ? vous n’y pensez pas, et la croissance alors! Le vert, la lutte contre le CO2, c’est l’arnaque du siècle, une bonne affaire pour ceux qui en feront commerce. Et qui se bousculent à la porte |
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– Bruxelles a coulé les bateaux des petits pêcheurs au bénéfice de la pêche au gigantisme, celle qui ravage océans et fonds marins,
éradiquant du même coup ce qui s’y reproduit. Des Marinas, des clubs nautiques, des « ports de plaisance » est-ce cela un port ? mais les emplacements valent de l’or,
et ça fait construire d’inutiles bateaux de plaisance; ils bouchent toute la vue, ils ne bougent pas du port ? c’est pas grave.
Non, car il y a d’un côté ceux qui mangent trop, qui s’en soignent et qui décident de tout, et ceux, bien plus nombreux, qui ne mangent pas assez sans pouvoir s’en soigner et qui subissent. |
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Saumon d’élevage. Un producteur de saumons
de qualité : « Nous avons cette difficulté dans la promotion de nos truites Label rouge, qui garantissent une excellente teneur en oméga 3 grâce à une
alimentation ou farines et huiles de poisson demeurent majoritaires.
La nourriture estampillée AB (50% farine de poisson et 50 % protéines végétales), densité en cage limitée à 20/25 kg/ m3 d’eau contre 50 à 80 kg pour les
autres, |
Le monde 2 août 2010 aquaculture industrielle ; selon l’INRA « Il faut sélectionner plusieurs sources de protéine qui conviennent aux poissons (..) – des tests de produits ont montré que les saumons préféraient se laisser mourir
de faim plutôt que d’avaler ce qu’on leur proposait – et permettent aux fabricants de nourriture de choisir selon l’offre et les prix. L’INRA, discute
avec les industriels pour fournir une nourriture de pauvres de nantis et de riches pourquoi pas à l’unité pour les super riches ? autrefois, tout le monde
avait la même nourriture, à la présentation près. Notre recherche est une honte. |
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On fera de même baisser les vents et les courants marins, et une soupe de pâte de papier supposée écologique bouchera tout autant les branchies des poissons que le plastique ; on ne sait rien non plus à terme du bilan des panneaux solaires, en limitant un vaste sujet à cela. Bref, Ne partons nous pas vers un nouveau leurre ? Rien n’est renouvelable sur cette terre si l’on consomme trop.
LA TÊTE A L’ENVERS.
Un américain a soudainement pris conscience que son climatiseur tournait toute la journée à son domicile, pour rien. A son bureau, un autre met en marche le chauffage parce qu’il ne peut pas régler la climatisation, trop froide, ni ouvrir la fenêtre, ni régler quoi que ce soit. Ça vous faire rire ? j’ai connu des gens en immeuble de standing parisien, dans un beau quartier, qui ouvraient la fenêtre pour avoir un peu d’air frais et faire baisser la température d’un chauffage au sol qu’ils ne pouvaient pas régler. Problème : avec les grands immeubles et les tours, ainsi que les nouvelles proposition pour l’habitat, on ne peut plus ouvrir la fenêtre.
Seule la maison individuelle permet d’agir, cependant les gens très aisés s’en moquent totalement ! il n’y a pas que le chauffage, et nous devons considérer certains de nos comportements ; ne pas ouvrir un jet d’eau pour rincer une tasse, y aller molo avec les dispensateurs de tout, lavage mains et vaisselle, shampoing, poudres machines, mieux gérer l’éclairage avec des spots de lumière
locales (où l’on s’assoit pour passer un moment, pour lire). Solution applicable au chauffage, avec des radiateurs électriques d’appoint sur un fond de chauffage général réduit. Côté voiture, il faut y aller molo sur l’accélérateur et la climatisation (les vitres noires en seraient la raison !).
Pour l’heure, ceux qui font attention s’y retrouvent encore. En l’état actuel des mentalités, l’effort est astreignant et mal vu (écolo rêveur,
radin, emmerdeur..), donc déplacé. Personnellement, je m’y emploie, sans être pour autant d’accord sur tout; notamment pour l’habitat que j’appelle « scellé »,
et sans ouvertures au nord ou à l’est.. Par ailleurs, l’exemple vient du haut
et si une partie de la population aisée ou plus qu’aisée ne se prive de rien avec des surfaces incroyables, voitures et équipements au top ou jardins
illuminés, alors que les autres seront dans la subsistance, ça ne marchera pas vraiment bien. Nous sommes en particulier tous horrifiés par les gaspillages
de nos chefs d’état lors de ces réunions internationales multiples (ils y prennent goût, pardi), pour les piètres résultats que l’on sait, alors qu’hormis
le coût de leur séjour, une armée doit être déployée pour leur sécurité. Comment osent-ils parler d’écologie et de restriction ? ou de CO2 ?
On éclaire les bureaux à la norme de 600 lux (blocs 4 fois 18 w) définie par on ne sait trop qui, alors que pour le confort des gens, la moitié est bien suffisante, soit 200 à 300 lux. C’est tellement vrai qu’il y a bien longtemps, avant cette étude, j’avais fait enlever des tubes dans mon bureau ! mais ailleurs, on était persuadé qu’il fallait bien ça ! Tout ce qui fonctionne pour rien et qui devrait être coupé représente 25 % de surconsommation, très vite récupérable. Nous sommes tous responsables, ne soyons pas indifférents.
Pendant ce temps, nos grosses têtes pensantes demandent toujours plus de centrales nucléaires.
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On rêve de campagne, de verdure, de cours d’eau, rochers et forêts, mais ce seront des champs de cellules photovoltaïques, des parcs d’éoliennes, des espaces d’urbanisation, des zones commerciales tentaculaires, des aéroports, des usines. On peut aspirer l’atmosphère pour en extraire quelque avantage, couvrir les océans de centrales électriques à vagues, à marée, à courants, et mieux encore, de bateaux et de radeaux géants pour villes flottantes ou marinas de luxe, usines, bases de lancement de fusées,). C’est déjà commencé.
Jusqu’à ce qu’il ne pleuve plus de l’eau mais de la poussière, qu’il n’y ait plus de vents transporteurs et purificateurs, mais de l’air pollué stagnant dont il faudra se
protéger, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus plus ni courants marins ni vagues, ni de bord de mer où marcher, ni de mer du tout à voir ! c’est déjà commencé, avec les ports de plaisance et les marinas, on
ne voit plus la mer; avec les grands lotissements privés, on ne voit plus le bord de mer, on n’accède plus à la falaise, au promontoire, au bord de l’eau. |
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Les pays développés, phares du monde, USA en tête, ont trois à six fois plus de cancer que les autres et qu’il suffit « d’entrer dans le club » des grands riches pour être immédiatement soumis à leurs méfaits
C’est une statistique infaillible, bien connue du corps médical, qui attribue ces effets à l’environnement, pris sous tous ses aspects et sans pouvoir en préciser lesquels.
Je n’évoque pas les autres méfaits, dont le vandalisme et l’insécurité, le bruit et nuisances en tout genre qui font la joie de nos cités. Quant à la
multiplication des maladies pudiquement dénommée orphelines elles suivent la même voie. Il n’est pas de bon goût – politiquement correct –
d’évoquer les malformations et handicaps.
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Pour la première fois, un jugement met en cause les pesticides dans l’origine de la maladie d’Alzheimer.
Il serait donc bien plus utile de s’interroger aussi sur la chimie au lieu de nous promettre des vêtements qui vont nous soigner malgré nous, tel
ce costume |
Nouvelle forme de colonisation insidieuse, la colonisation commerciale.
Course à l’énergie, course à la nourriture, course à l’eau, course au brevetage de tout, bébés inclus un jour, course à l’appropriation de tout ce qui est de tout ce qui vit, pour s’assurer une suprématie sans totale, voici les enjeux dévastateurs, dénués de tout scrupules, de
notre nouveau monde aux profits mondialisés, car c’est ce que le commun des mortels voit, derrière les beaux discours.
C’est Dallas et son méchant JR.
Un seul exemple symbolique, la nourriture : une poignée de grandes sociétés contrôlent la grande majorité des semences – stérilisées bien entendu – en même temps que les engrais et pesticides qui s’accordent si bien avec. Le tout est supervisé par nos Dirigeants, lesquels promulguent les lois qui interdisent tout autre approvisionnement. Les peuples qui se nourrissaient ancestralement de haricots jaunes, paient désormais une redevance à leur « créateur » américain ! on croit rêver. PUISSANCE ET CUPIDITE FONT LOI. |
LE BREVET, L’APPELLATION, c’est plein de fric gagné sur notre dos. Ca a commencé par les roses, puis les fruits,
puis le pain et ça n’en finit plus. Autrefois, le pain d’un boulanger n’avait pas de nom et le bénéfice allait au boulanger, pas à celui dont il vend le nom
avec le pain.
En France, pays de la liberté et des ‘Lumières’, un catalogue répertorie tout ce qui est autorisé en agriculture. Graines,
plants et traitements non homologués – bien que souvent séculaires – y sont interdits.
Une coopérative française, Limagrain, est 4me exportateur mondial de semences ; son directeur la dit « humaine », à l’opposé des sociétés anonymes, parce que l’on y connait et fréquente ses actionnaires. « Le Point », 09 2006. Je cite : « Les défenseurs de l’agriculture bio entrent en résistance contre l’article 70 de la loi d’orientation agricole qui interdit toute
utilisation et recommandation de produit phytosanitaires ne bénéficiant pas d’une autorisation de mise sur le marché. En termes clairs,
l’emploi de semences, traitements ou engrais naturels pour l’agriculture et le jardin, fût-il individuel, tombe sous le coup de la loi. On a même
saisi les mémoires d’un brevet préconisant « des huiles essentielles et des décoctions pour traiter arbres et vignes ». Recenser les vielles recettes
aux orties ou à la pomme de terre et les publier est également un crime ». Fin de citation. Sous couvert du principe de précaution, nous voici retombés dans les procès en sorcellerie du moyen âge. Sauf qu’il s’agit cette fois de protéger les grandes industries qui ont légalement le droit de nous empoisonner. L’ironie et le ridicule sont au comble de l’affaire car, presque tous leurs produits dérivés proviennent de la sélection naturelle de plantes, produits ou recettes ancestrales. Après avoir recherché des plants disparus depuis longtemps, un cultivateur vient de retrouver trace d’une ancienne variété de maïs roux et procède à des expérimentations confidentielle sous couvert d’agriculture bio. Ce maïs serait naturellement résistant. Il n’est pas le seul, mais la chasse aux intrus est, comme on l’a vu plus haut, grande ouverte. Ils recherchent tout ce qu’ils ne devraient pas faire : par exemple, reproduire synthétiquement les fromages !! notre seul espoir est qu’ils ne trouvent jamais. |
Lorsqu’il élevait ses vaches, ses moutons et ses poulets, qu’il produisait ses céréales et son maïs en récoltant ses graines, qu’il faisait pousser ses plants de la même manière, et même si il préférait les acheter à un grainetier du coin, le paysan était libre et n’avait pas de brevet
à rembourser au prix fort. Il n’avait pas à se prosterner devant la bible des bons grains et les gendarmes ne venaient pas le chercher. Le fameux problème de traçabilité administrative ne se posait pas, et pour cause. Seul l’angélus pouvait venir troubler son travail, et c’était pour lui et ses employés, une
pose bienvenue.
L’Europe et le contrôle du vivant. En Roumanie, les petits paysans devenus européens, doivent consulter d’abord la liste européenne des semences et produits autorisés et ils sont obligés d’abandonner les leurs, sains, bons, résistants et avec lesquels ils vivaient chichement certes, mais en suffisance. Les OGM ont envahi le pays sans aucune précaution sous la brutalité du gouvernement. Ceux qui veulent faire du bio sont contraints de le vendre aux grands groupes, ou sont limités au mieux à la vente locale, le village, ou alors ils sont condamnés. Grotesque et scandaleux; avec leurs champs de quelques hectares – parfois trois – et leurs produits séculaires, on leur parle
de traçabilité ! (Partie du texte sur la Roumanie d’après l’émission « Terre à terre », France Culture, 01 08).
A la poursuite des derniers secrets. « Jusqu’au dernier des sauvages », les grands groupes tenteront d’extorquer leurs secrets. On se rend compte, maintenant que l’on pense officiellement que les singes sont intelligents, que l’on aurait dû garder nos-bons-sauvages-et-leurs-aptitudes-extraordinaires dans quelques réserves – mais comme éléphants, sous contrôle. Cynique mais hélas pas loin du vrai. On doit tout à la nature d’où provient l’ensemble de notre alimentation et de notre pharmacopée. Ces derniers « sauvages », désormais informés, résistent pour ne pas se faire piller sans contrepartie. Les animaux « encore sauvages », observés et disséqués comme jamais, sont l’objet « d’attentions » qui relèvent davantage de l’espérance d’un bon gain plutôt que d’un bon soin. Les effets d’annonces fracassantes en témoignent largement, sans omettre la multiplication du médicament publicitaire, plus ou moins homologué, qui devient peu à peu un consommable courant dans notre nouvelle société. Pour les rendre plus vertueux, on n’hésite d’ailleurs pas à les nommer « compléments alimentaires« , ce qui devrait les rendre douteux puisqu’on les assimile ainsi au dopage des sportifs, grands consommateurs de ces « compléments ». Ces incroyables merveilles régulent tous les flux vitaux et pour faire mieux encore, promettent des ventres plats et de belles jambes lisses et musclées, ce qui est normal quand vous avez acquis, par cette nouvelle grâce de Dieu, un transit intestinal modèle. Pour faire plus sérieux et plus cher, ils sont vendus en pharmacie. C’est une garantie. |
N’écoutez plus !! Les revues, la télé et la radio ne cessent de nous bombarder de conseils ridicules, dont l’intérêt nous échappe « mangez au moins
six légumes et fruits par jour », mangez des pommes, 3 à 5 noix par jour prévient les maladies coronariennes et |
C’est comme avec les vaches qui font du lait dilué aux toxines. Les couillons dégustent le contenu de bouteilles à l’air ancien, ou en bidons de métal blanc, mais il n’y a plus aucun olivier ancien.
Mangez des aubergines et des courgettes elles diminuent le risque cardio-vasculaire, de diabète et de cancer, ce que font en
règle générale tous les légumes. La courgette contient de nombreux antioxydants et si l´aubergine peut avoir des effets indésirables, les populations
méditerranéennes pourraient avoir acquis une immunité (..) on vogue en plein délire.. la courgette protège les yeux en diminuant les risques de cataractes et
la DMNLA. L´aubergine est riche en fibres, en minéraux et oligo-éléments ? Bien mûre, ses fibres protègent contre le cancer du colon. Préférer les aubergines à
peau foncée (patibulaires mais presque). Enfin, cerise sur le gâteau, l´aubergine pourrait diminuer l´hypertension artérielle.
Tiens, tout cela n’est qu’éventualités ? « .
Une petite dernière ? Bien dormir prévient le diabète !! et en plus, ça repose, je crois ? |
Le nouveau choc des carburants. Janvier 2008
Regroupant moyens et qualifications, l’urbanisation devait apporter bonheur et facilité ; elle est devenue source de tous les maux, dont la production alimentaire, après la désertification des campagnes au bénéfice de la ville. Ville miroir aux alouettes pour les moins fortunés. Je reprendrai ici les conséquences de la déforestation de l’Amazonie (Match du monde, Janvier 2006) : « à mesure que la jungle recule croissent les jungles urbaines où viennent s’entasser des populations déracinées et exclues du développement« . Pendant que l’Amazonie perd deux à trois millions d’hectares par an, le Brésil gagne dans ses villes des centaines de milliers de nouveaux ‘exclus ». Ce constat est général et dénoncé par certains, en Afrique, avec la modernisation forcée de l’agriculture qui va faire mendier tous ceux qui gagnent déjà durement et chichement leur vie dans les exploitations. Qui sont les responsables ? nous ! Quand on ne pas payer plus un repas plus cher qu’un T-shirt chinois, on encourage tous les dérèglements et les profits.
Les brevets et donc les OGM, sont les moyens les plus efficaces de priver les peuples de leurs
ressources naturelles.
Plus tard, ils ne pourront plus donner naissance ni élever à leur convenance, parce qu’ils seront porteurs d’un gène payant.
Les lois et les tribunaux des plus forts y veilleront, avec l’appui de l’armée si nécessaire.
Ces positions hégémoniques génèrent une grande perversité car chacun s’arme au lieu de commercer librement et tranquillement ! les uns pour
intimider, les autres pour se protéger. Le président des USA Bush a d’ailleurs annoncé clairement, « si vous n’avez pas les moyens de dissuader,
ce n’est pas la peine d’essayer de « négocier ».
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Cela étant, je suis pour; reste la pratique, comment font ceux qui sont contraints à la restauration, rapide ou pas, car la salade et même la tomate y sont rares (plainte recueillie à un
stand lors d’une exposition ; « on n’y trouve que des plats préparés avec sauce », ou des sandwichs
Beaucoup de gens ne peuvent plus payer la qualité, laquelle ne préserve pas contre les traitements chimiques, pesticides, rayonnements
(micro-ondes), voire congélation, |
La pomme du Limousin, labellisée AOC bien qu’originaire du Canada,
subit 40 traitements avant l’assiette, dont quelques « systémiques » (qui pénètrent dans la chair par la sève).
Méfiez vous en autant de la banane des Antilles.
De la bouffe industrielle à la bouffe scientifique.
Au cours de la dernière guerre, les allemands s’apprêtaient, disait-on, à fabriquer des biftecks synthétiques en agglomérant des protéines.
Têtus et champions de chimie, sont-ils le modèle que l’on nous vante ? En attendant, on mange de plus en plus de déchets, de végétaux terrestres ou marins colorés et « saveurisés ».
Devant la malnutrition mondiale, l’idée |
Côté nourriture..
l’origine de toute notre nourriture est à rechercher dans la sélection naturelle, avec ses risques, au cours des
âges, animaux puis hominidés inclus, puis paysans ou cultivateurs.
Cela n’empêche nullement les laboratoires de rêver à nous imposer la leur !
La nourriture, c’est tout d’abord une quête millénaire animale, avec les tests et les aléas dramatiques qui s’y sont parfois attachés. On tente de nous le faire croire, et nous nous l’oublions un peu trop facilement ; il en a été de même pour les produits qui soignent. Ces choix à grands risques ont été émaillés de quantité de morts, parfois pendant des siècles ou davantage avant que l’on identifie la plante coupable. Un bon exemple est celui des champignons, qui tuent encore, et l’épouvantable « rond des sorcières » qui n’a été démasqué que tardivement. Nous avons le même problème aujourd’hui car nous ne connaissons pas les causes de nos nouveaux maux. Les forêts primaires y ont joué un rôle capital. C’est cette production sans cesse renouvelée qui disparaît sous nos yeux émerveillés par la puissance de l’homme. Aucun autre animal n’avait fait jusqu’alors tant de mal à la nature. |
Le mieux est de faire totalement disparaître les animaux de nos assiettes. |
A chaque pays ses coutumes ! certaines pratiques nutritionnelles ne nous conviennent pas.
On pourrait penser à la Chine, ses vers, insectes, méduses, chiens etc, ou encore à ses pratiques parfois douteuses, pour les raviolis, ou les poulets,
dénoncés en leur temps, mais ce sont les USA qui entrent en lice avec d’une part, le bœuf aux hormones, monstres qu’ils veulent depuis bien longtemps nous imposer au titre de la
libéralisation du commerce, et d’autre part le poulet à la javel. |
Bouffe chimique. Ça n’arrêtera jamais. « Ils » se sont lancés vers cette nouvelle conquête qui peut rapporter gros. Les gouvernements et des organismes chargés de la santé publique ne nous protègent plus, bien au contraire. On connaît la bouffe industrielle, on va connaître la bouffe scientifique. ET DONC CHIMIQUE. Déjà, pendant la dernière guerre mondiale 39-45, les allemands s’apprêtaient, disait-on à fabriquer des biftecks synthétiques (beefsteak = tranche de bœuf), dont on sait désormais qu’il s’agit de concocter un agglomérât de protéines, sorte de surimi japonais, mais sans poisson ni viande. A part ça, que pourrait-on mettre dedans si ce n’est des déchets ou des végétaux terrestres ou marins
colorés et « goûterés ».
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Des élevages aux abattoirs, qui peuvent être dans un autre pays, en passant par les usines de transformation, puis les centres de distribution, pour arriver enfin dans nos assiettes, une immensité d’incertitudes s’est installée, bien commode pour ne plus savoir ce qui se passe. La méfiance s’est installée à notre table (Marianne, fév. 2014). | « On sait tout sur le dernier MP3, l’ABS, le GSM, La HD, mais l’on ne sait rien sur ce qu’il y a dans nos assiettes », en partant des semences, puis visitant les champs, les traitements de production et de conservation. |
En matière de nourriture, les nutritionnistes sont aussi peu convaincants que les publicités mensongères.
Bien que la nourriture influe à la longue sur nos corps, au point que l’on peut éventuellement savoir par les dents où l’on a passé l’essentiel de sa vie,
que les fœtus sont sensibles à ce qu’absorbe la mère, et que les excès marquent les êtres tout autant que les carences, notre corps n’absorbe pas à volonté
tout ce qu’on lui donne, et il ne suffit sans doute pas d’avaler des coquilles d’huîtres pilées – je suis sérieux, c’était un conseil médical – ou de boire du
lait, pour se faire des os en béton (un terme classique mais pas très avisé, acier serait mieux). Dixit mon médecin,
Autre découverte qui n’en n’est pas une; il est très efficace de faire de la marche, des efforts, car les muscles font les os !! et l’on peut ajouter sans se tromper, les |
Une nourriture variée, avec des légumes, apporte normalement tout ce dont on a besoin. Ou apportait, car la terre fait aussi un peu le légume et sans terre,
on court au désastre. Sans parler des traitements et irradiations qui suppriment tout. Avant tout autre chose, le bon sens devrait donc nous pousser à
produire de la nourriture saine, en veillant à la surconsommation certes, compte tenu de l’âge, de l’activité, de sa nature puisque nous sommes tous inégaux (l’humain moyen médical conduit à des aberrations).
De bonnes mesures : on a pu voir que certaines cantines scolaires étaient soutenues dans leur volonté de faire manger sain, en offrant aux élèves légumes et fruits et surtout en les motivant !! bravo, le bon sens n’est pas perdu. Hélas, notre démographie urbanisée, qui trouve son compte dans le credo industriel et immobilier, dicte sa loi: « le moins de champs et le moins de paysans possible » !! |
Les bonnes pâtes Parrilla, dont on a fermé trois usines pour causes de pourriture, ventaient leurs qualité aux œufs frais. Depuis il y a eu Spangero en France, et sa viande bœuf au cheval, peu être pas pourrie mais à la provenance incertaine, ce qui n’est pas loin du sujet. La réalité est celle du dopage des sportifs, les cas sont certainement légion et l’on en cerne que très peu.
Les grandes sociétés de services – eaux, carburants, électricité, nucléaire, chimie, nourriture) – rivalisent de vidéos nous montrant un monde merveilleux de champs pleins de fleurs, d’animaux
en liberté, de ciel aussi pur que l’eau qui ruisselle partout, de santé et de chants d’oiseaux.
On croit être informé et l’on en saura de moins en moins. Je viens d’apprendre qu’en Martinique, on demandait à réutiliser des champs mis en jachère pour produire à nouveau de la canne à sucre, saisissant l’opportunité de nouveaux carburants dits biologiques (qui nécessiteront des traitements, tout comme le pétrole, d’origine biologique aussi !!);
Une voiture roulant au rhum (Hic ! ..), voilà qui serait sympathique. L’idée est excellente pour ces pays en difficulté,
mais l’on peut se demander pourquoi ne pense-t-on pas en premier lieu aux cultures vivrières (alimentaires). La réponse est incommodante : |
Nous entrons l’ère de la terreur alimentaire. Toutes les espèces, tous les produits ont été détournés et volés par la science et les grands groupes. Sous
prétexte paraît-il de protection de la santé publique.
Est désormais interdit tout ce que l’on faisait pousser et utilisait depuis toujours, dont de bien meilleurs plants plus résistants.
Sont interdits tout ce que la nature et les patients croisements de nos anciens ont obtenu, ainsi que les méthodes naturelles de protection contre les attaques (produits, plants, arbres). Des indiens doivent maintenant payer les plants de leur variété séculaire de pommes de terre parce qu’elle a été « retravaillée » et brevetée par un labo
américain ! Qui sont les vrais monstres..
Le plus surprenant, c’est que l’on nous chante les louanges de la biodiversité, qui est la vie que l’on dénomme désormais « sauvage », laquelle a mis en place des mécanisme de régulation, de protection naturelle contre des atteintes massives de parasites et prédateurs, et qu’en même temps, on puisse se lamenter de sa disparition alors que tous nos actes y concourent, soutenus par ceux-là mêmes qui s’en désolent, tout en rêvant de molécules synthétiques, d’organismes modifiés reproductibles, parés alors de toutes les vertus.
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Voici la dernière création de la bouffe chimique, la cuisine moléculaire, produite en Allemagne sous l’égide d’un comité chargé d’étudier tout ce qui pourrait nourrir le
planète, avec la participation financière de l’Europe ! vicieux, les promoteurs de cette chimie gustative se sont appuyés sur les grands chefs
pour en faire la promotion.
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Composant fondamental, il n’y a parfois pas de miel dans le pain d’épice !! —–
Pas la moindre trace de bœuf dans le bouillon-cube au bœuf.. |
Le nombre de substances entrant dans la composition des aliments est plus que surprenant : jusqu’à 50 produits dans une crème glacée. La pomme AOC du Limousin exige 40 traitements chiques différents (l’enquête du SCESS de 1996 en dénombre 32 : 10 insecticides, 18, fongicides, 2 désherbages, 2 éclaircissages chimiques) |
Hors saison, bon nombre de légumes et fruits sont irradiés. Pas avec des éléments radioactifs, mais |
Chimie alimentaire et thérapeutique. Les produits se vendent « comme des petits pains », domicile, agriculture, industrie, alimentation, élevage, santé, sport, habillement, bâtiment, décoration, emballage.. tous les secteurs sont concernés et leur nombre croit sans cesse.
DES EFFETS INDESIRABLES. Nos médicaments « soignent » – gratuitement – les occupants des rivières et des mers.
Gorgés d’hormones et de bien d’autres produits, vont-ils pratiquer aussi la contraception ?
Yvan Bourgnon, célèbre navigateur : « A dix ans, j’ai fait le tour du
monde avec mes parents. Il n’y avait pas de plastique. Trente cinq ans plus tard, il y en a partout ».
Situation des années 70. J’ai été élevé au bord de la méditerranée, et pour la rapidité du phénomène, je confirme. Une réalité que n’importe quel promeneur du bord des plages constate quotidiennement.
Songeons que des billes de polystyrène – lequel doit bien aussi émettre quelques gaz en se décomposant lentement – sont retrouvées piégées jusqu’au fond des océans, là où quelques créatures les prennent pour des œufs et en meurent. Il y avait déjà les sacs plastique pris pour des méduses, quel gâchis, d’autant que les méduses en bénéficient. Leur
nombre deviendrait effrayant.
On a relevé des bancs de plusieurs kilomètres carrés sur 10 mètres d’épaisseur.
Deux élevages de saumons ont été nettoyés par ces bestioles. Il ne restait rien.
On pourrait se préoccuper des poussières qui envahissent la planète, soulevées par les travaux incessants de construction et de démolition, par les mines, les carrières, les rejets industriels et domestiques, l’usure des pneumatiques (il y a une trentaine de composants dans un pneu moderne), les freins et de tant d’autres émissions.
Ajoutons y nos vêtements et tissus divers en recyclé ou mauvaises fibres, dont on peut voir les émissions dans un rayon de soleil, ou en les secouant sur un dessus de lit foncé, comme je l’ai fait avec une serviette de bain blanche supposée de bonne qualité, basque !. Le merveilleux coton OGM est dans le coup, mais bien souvent, on ne sais plus e qu’il y a dans les appellations.
Selon l’une de ces sources multiples que personne ne peut plus vérifier, 30% des poussières viendraient de nos vêtements ! où ? en ville ? cela doit nécessirement dépendre du site.
C’est donc peut-être d’air respirable dont nous allons manquer, un air qui pourrait être plus pauvre en oxygène.
Parallèlement, les sources de production se tarissent car les grandes forêts ont pratiquement disparu, et si l’on replante, ça n’a pas grand chose à voir en comparaison. Les forêts anciennes, c’est un fouillis impénétrable de végétation, avec des arbres gigantesques de 50, 60 mètres de haut.
On voit bien que les maladies rares se multiplient, que les cancers gagnent du terrain (mortalité = maladies cardiovasculaires), ainsi que les anomalies, les malformations, les allergies aussi ; que des jeunes naissent vieux, avec des rhumatismes ou des insuffisances
graves.
En Chine, où tout est amplifié et hors contrôle pour la gloire de la Grande Chine, comme sous Mao, il y a des dizaines de « villages du cancer », les habitants menacés par le régime. L’Inde est également touchée, là où les habitants respirent et manipulent des produits nocifs sans aucune protection.
Faut-il ces dramatiques excès pour prouver l’effet des produits, métaux etc ?
Croit-on pouvoir lutter avec la médecine alors que de vieux fléaux vaincus sont réapparus ? je ne crois pas car il s’agit d’un affaiblissement et d’un dérèglement de nos mécanismes biologiques, au moment où, grandissant en taille, on se croit plus fort.
Une vie plus saine et plus active dans un monde plus naturel et moins stressant où, sans introduire d’ours et de loups, on n’aurait pas fait disparaître toutes les espèces.
A l’exception des minuscules et des microscopiques contre lesquels on ne pourra jamais rien et qui nous auront la peau.
Des voix s’élèvent, même dans le monde médical ou quelques esprits clairvoyants commencent à penser qu’on a tout faux et que l’on va dans le mur.
« il faut manger plus sain, se méfier de tout ces produits miracle, être moins propre, même avec la nourriture (dans les cantines scolaires !), il faut marcher, bouger .. » ; bref revenir à la vie sauvage ?
On aimerait y croire, on se fait plaisir en évoquant l’utopie
Corby n’est que l’un des trop nombreux cas identiques éparpillés sur notre planète. Avec la bénédiction des élus, des notaires ou des agences immobilières.
On vente la « propreté » de la voiture électrique, mais que ferons nous des collines de batteries, très nocives, qui vont avec ? plus quelques centrales nucléaires qu’AREVA, dans son cauchemar, réclame déjà ?
La voiture à l’hydrogène sera merveilleuse jusqu’à ce que l’on découvre, horrifiés, ses travers.
De même pour les diester, ces alcools qui s’apprêtent à entrer en lice.
Devant les champs d’éoliennes, les surfaces couvertes de capteurs solaires et l’agriculture intensive de biocarburants avec leurs usines, parions que le nucléaire ne tardera pas va retrouver une certaine faveur.. écologique. |
Cependant, l’élixir n’est pas facile a obtenir, les plantes étant affublés d’un faible rendement énergétique. En
comparaison, il faut 10 kilo de végétaux minimum, sans compter les compléments alimentaires concentrés, pour produire un kilo de viande.
l’huile de friture, pourtant déjà concentrée, a pouvoir énergétique faible comparé aux carburants fossiles (essence, huiles « lourdes »).
Depuis, il y aurait une prise de conscience, que la baisse du prix du pétrole, a peut-être initiée.
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En Malaisie, une usine nouvellement construite pour transformer l’huile végétale en carburant ne fonctionne pas du fait de la rareté du produit brut ! l’augmentation des prix de l’huile de cuisson contraint les habitants des bidonvilles d’Asie, à Mumbai (Inde, ex Bombay), à rationner chaque goutte d’huile, Aux USA, mais partout sans le monde, les prix flambent avec les mêmes conséquences.
L’huile végétale est la principale source de calories pour les pauvres. C’est un réquisitoire direz vous. Oui, mais on voit bien que tout ce merveilleux tourne au désastre, toujours pour les mêmes. Il faut d’abord agir sur la croissance de la population et réorienter la production vers l’utile et le durable, car c’est l’unique voie de la survie. Ceux qui prétendent densifier l’habitat sans offrir d’autres perspectives que leur propre gain, ceux qui pensent nourrir le monde avec des élevages d’insectes transgéniques et de la viande qui pousse, vivent déjà à part nien confortablement, se réservant des aliments et des produits inabordables pour les autres. Sans discernement dans notre progression, sans l’accord des populations – ce qui se dessine depuis quelques décennies, nous n’aurons plus les moyens matériels pour mettre en place le changement. Un changement qui pourrait aller jusqu’au déplacement des pôles d’activité actuels, donc des aires commerciales mondiales, des transports ainsi que des populations. L’argent sera parti avant. Les profiteurs et les banques savent faire.
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On ne fait pas de l’écologie en utilisant simplement des matériaux qui se dégradent naturellement. Ni en réduisant l’émission de gaz qui en réalité augmentent et vont augmenter encore bien plus, sans parler des nouveaux dont on ne parlera que dans un siècle. Le diesel n’était-il pas propre avant qu’on ne découvre ses micro particules très nocives ? Ainsi l’aviation n’était pas concernée par les réductions d’émission : sa « production » a augmenté de 87 % en peu d’années. Je ne vois pas, en dehors des discours comiques, ce qui pourrait enrayer la progression. Hormis tomber dans le catastrophisme. |
Au lieu d’interdire, on taxe; tout. Il n’y a pas de mois où l’on ne voit pas suggérer une nouvelle taxe « sociale, écologique ou d’assistance ». Elles seules méritent le terme de « durable ».
Cette orientation désastreuse est difficile à combattre en raison des bénéfices qu’elle génère et des emplois qu’elle représente.
Et quand on parle d’emplois, tout le monde approuve et dit: ne touchons pas à cela.
Même à la mafia et à la drogue ? ce sont des emplois.
je vous fais toucher la limite, car on excuse vite l’inexcusable. Même Et ça empire.
Le problème est que l’emploi lui même devient jetable. J’entendais dire, à la suite de l’attaque des deux tours américaines, qu’en raison des produits, dont l’amiante en forte présence, l’environnement était devenu très dangereux.
Quelques voix se sont élevées en vain. Bien des y ont perdu leur santé, ouvrant la porte au cycle infernal (famille, maison). Car ils étaient 30.000 à déblayer !
Rien n’a été fait pour eux, car disait le rapporteur, la santé est
là-bas un bien de consommation comme un autre. Voilà vers quoi nous entraîne
l’économie de marché et une « certaine façon de concevoir la mondialisation. Je ne milite pas, je suis âgé et râleur.
Je ne souhaite pas revenir au feu à allumer avec un bâton, ni à me tremper sous un abri précaire en me gelant et en m’inquiétant du prochain repas.
Je ne suis pas un doux rêveur comme les écologistes qui ont du reculer sur leurs avancées, car l’économie est bien là et il faut faire avec.
Si l’on pouvait tout recycler proprement sans production aucune de produits embarrassants ou nocifs, je trouverai moins à redire sur la surconsommation, encore qu’elle complique notre vie et que l’on n’aime pas jeter inutilement.
C’est bien dommage. Les exemples fourmillent et voir la liste de nos fournisseurs sur l’ordi me donne le tournis ! Alors rions: La montre, les cadeaux, l’habilement, sont devenus des objets de consommation courante. On ne répare plus et quand le cendrier est plein, on change de voiture, selon un sketch humoristique. Ce qui n’empêche pas d’être abordé pour donner l’heure !
Des T-shirts de 15 ans d’âge sont en meilleur état que ceux d’un an. Les nouveaux se déforment et s’abîment très vite.
Ils sont jetables. La mauvaise qualité (prions pour les pauvres), est exorbitante.
Produits médicaux, cosmétiques, ménagers miracles pullulent (leur danger est parfois dénoncé). La vidéo à la télé ou au cinéma est incitative
« versez largement, vous pouvez en mettre ». Comme les doses de whisky dans les films.
Bien des emballages sont inutiles, mais rien n’est réellement fait pour les limiter. Il y a bien quelques actions, ci et là. Des graines, des vis au détail. Il est vrai qu’il y a le problème du vol, de l’hygiène, du transport. C’est la justification d’une organisation commerciale.
Le cycle infernal du consommable : stylos avec si peu d’encre qu’ils sont vides après quelques pages. Il était pourtant beau ce stylo « vision », à demi transparent, aux reflets nacrés. Pour mieux tromper, sa réserve d’encre visible est contenue entre deux parois, de sorte que ce que l’on voit, n’est qu’un film mince d’encre, comme ces verres d’enfants à double parois où nagent des poissons.
Avez vous vu le désarroi d’une mère de famille à la rentrée scolaire devant les dizaines de mètres de produit sur deux mètres de haut ou plus ? Est-ce raisonnable 10 mètres de choix de stylos ? sans parles des gamins qui ont leur mot à dire et sortent frustrés.
La clé de la surconsommation, c’est comme les taris d’avion ou SNCF, il n’y a plus d’historique, plus de référence, plus de repère. La machine testée, vous ne la trouverez probablement jamais. La profusion engendre la confusion et l’abondance peut engendrer beaucoup de médiocrité. Ca ne vous énerve d’être constamment occupée à acheter inutilement ?
On produit le lait le plus cher du monde en faisant pousser de l’herbe dans le désert, que l’on arrose en dessalant d’abord l’eau de mer (le pétrole coule à flot dans ce pays béni du dieu Energie). Après tout, on fait bien pousser du maïs partout dans le monde et les pays sous développés, alors qu’il est peu énergétique mais grand consommateur d’eau ; il lui faut 450 litres d’eau par kilo de grains, et cela au cœur de l’été, en période souvent sèche. On cultive dans les mêmes conditions fruits et des légumes dans des pays ou les habitants manquent cruellement d’eau. Bien des agriculteurs souhaiteraient revenir à une meilleure répartition des cultures, allant de pair avec les ressources locales en eau.
En écologie et respect de la planète, on ne parle jamais des militaires, avec tout ce qu’ils ont lâché et lâchent chaque jour un peu partout dans le monde – dont partie pour leurs seuls essais – comme pollution, gaz à effet de serre, produits chimiques, émanations nucléaires, têtes d’obus radioactifs et je ne fais sans doute qu’effleurer le sujet. Leurs recherches sont sûrement effrayantes.
Pas non plus des fusées qui expédient presque quotidiennement, à grand coup de carburants hautement nocifs (poudres, hydrazines..) d’innombrables satellites également bourrés de produits nocifs. ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Pour ses forêts disparues, le même destin aurait frappé Haïti. Et pourrait en frapper tant d’autres pour cause de réchauffement climatique. |
L’auteur ajoute que toutes les études sont biaisées, par ce qu’il nomme « la dilution », qui étend une recherche jusqu’à ceux qui ne devraient pas y être inclus, afin de réduire artificiellement le pourcentage de méfaits constatés par d’autres. Il cite aussi de remarquables Instituts comme L’INRA, lequel fait des études extrêmement sérieuses: il a prouvé que les poules étaient plus heureuses en cage (dimensions d’une feuille A4). On devrait y mettre celui qui l’a prouvé, pour étudier son cas personnel. Car la morale de l’affaire ne se pose pas ainsi, surtout avec ce dont on les bourre pour qu’elle survivent ! Mais comment nous souhaitons traiter les animaux que nous consommons !
Une autre bonne nouvelle a été annoncée: rien ne prouve |