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Economie intuitive; – Les fondement de l’économie, fragilité de l’économie – Complexité, équilibre et dérives de l’économie – Economie financière, avidité et désordres. Vers un économie raisonnée ?
Nous surestimons ou sous-estimons en fonction de notre supposé bénéfice:
Pour certains, le profit est un engrenage multiplicateur qui s’auto-alimente, toujours plus, jusqu’à la domination totale comme dans les films de James Bond. Rien ne doit leur résister, c’est une drogue. Il est rare que cela puisse se produire sans compromissions, coups bas, sinon désastres pour quelques autres. Un riche disait en toute bonne foi,
Ce sont chez les riches que le personnel est bien souvent le plus mal payé, sinon maltraité ou réduits à l’état d’esclavage. J’évoque ici quelques cas qui ont été démasqués en France – sans doute parmi tant d’autres insoupçonnés – provenant de familles d’orientaux ou d’africains, que je ne désigne pas de manière exclusive. Il y a aussi les marchands de sommeil, des milieux plus crapuleux encore pratiquant le trafic d’humains ;
Les derniers enfin, jamais dénoncés, qui devraient être en tête, soit les truands légaux en col blanc, les plus cultivés, qui dissimulent leurs gains, manipulent l’argent en toute conscience ou mépris des pauvres qu’ils ruinent ou tuent.
Les Etats enfin, dont un « très libéral » bien connu, dont on ne compte plus les embargos, tant pis pour les malnutritions et maladies qui en résultent, surtout chez des enfants, ou qui provoquent de monstrueuses guerres, pour s’approprier les biens, les ressources et les richesse (art, or..).
– La constance de la raréfaction des emplois peu qualifiés (manutentionnaires, caissières, vendeurs, employés..). Ne subsisteront que les non mécanisables-automatisables du moment.
– La constance de la disparition des activité familiales et individuelles au bénéfice de sociétés qui en prennent le contrôle. Rien n’y échappe ou peu s’en faut, pas même la santé. Exemple, coiffeurs, restaurants, boulangeries, cordonneries, drogueries, merceries, quincailleries,.. quelques boucheries et librairies résistent mais se raréfient. De grands groupes s’apprêtent à mettre la main sur la médecine par le biais de l’automatisation de quelques mesures, l’intelligence artificielle et les centres de consultation téléphonique ou Internet. La mort du médecin référent ?
– La constance de l’appropriation de toute décision, tout aménagement, toute vision futuriste par le seul milieu intellectuel communautaire, arts inclus, qui modélise la ville, le travail, la nourriture, l’habillement, la naissance et la vie, selon leurs envies délirantes ou leurs égos. Un milieu pléthorique qui s’auto-alimente en se diversifiant, repoussant la masse populaire qui n’a plus rien à exprimer (voir dans ces pages une ville nouvelle écologique d’Allemagne ou les gens ont réduit les architectes à réaliser ce qu’eux-mêmes voulaient).
– La constance de l’accroissement du nombre des fortunes et des avoirs détenus, constance qui va de pair avec celle de la paupérisation des « petits emplois », et ce n’est pas un hasard. Opulence d’un côté, compression infernale des effectifs de l’autre.
– Cumul de tâches (secrétariat, standard téléphonique, café, comptabilité ! – Cumul de volumineux dossiers pour l’unique secrétaire-assistante du cabinet regroupant trois « Maîtres », chacun exigeant l’urgence. – Salaires minimum pour les infirmières, avec des actes et des déchêts pas comme les autres, plus les kilomètres de marche. – De « petits emplois » vécus avec la crainte d’un licenciement.
– De « petits emplois » qui ne bénéficient plus des augmentations de salaire avec l’ancienneté, du treizième mois, des emplois intermédiaires d’avancement en interne (échelle sociale). Ah, vous ne savez pas que ça a existé ?
C’EST FINI TOUT CA, ON N’Y ARRIVE PLUS ! a cause de tous ces pays où l’on fait tout fabriquer pour presque rien ! Le coût de la vie a bien baissé alors ? ben non ! alors, OU EST PASSE L’ARGENT ?
vive les demandeurs d’asile à bon marché, qui ne se rebiffent pas. Tiens, c’est drôle, y’a jamais d’chinois ?
– Le tout est ponctué de crises financières provoquées par des malfrats de haut vol, innocents donc jamais punis, qui ruinent bon nombre de personnes, laissant mourir de faim bien plus de miséreux qui n’intéressent personne.
Le ramassage de légumes en Inde est payé l’équivalent de 50 centimes d’euros la demi-journée (années 2010).
Des enfant rampent dans des mines où il finissent bien souvent faute de pouvoir reculer; cela pour que d’autres puissent porter de beaux bijoux.
Elle est exclusivement basée sur l’exploitation des produits du vivant (terre et mer), dont ceux de cueillette, de fabrication et d’extraction (récolte, taille, terres et minerais).
Sans exploitation ni transformation des matières de notre planète, l’économie serait réduite à la subsistance animale: chercher à manger, défendre son domaine nourricier, se protéger, se reproduire. Point d’outils autres que le bâton ou la pierre, encore moins de bâtisses, cités, routes, ponts, machines, et richesses.
(*) tels que élevage, chasse, pêche, cueillette ou récolte, transport de matériaux pour son habitat, recherche d’eau..).
Par exemple, la pratique du chômage partiel au lieu du licenciement. Le cas normal veut que le travailleur soit entraîné, s’implique, ait une responsabilité du résultat (cadence ou productivité en général). cela conduit à l’utilisation maximale du travailleur, dans la limite de la loi si il y en a, ou au cas contraire, à sa déchéance physique et matérielle. Le fractionnement dù au partage est déjà connu avec les mi-temps ou les postes ou l’on remplace la personne : « mon collègue ne ma rien dit ».
Mieux vaut prôner le bien être au travail, accorder des arrangements, notamment pour jeunes enfants ou maladie (horaires souples) et parvenir à de plus justes rétributions, éventuellement participatives, quitte à allonger sa durée. L’allongement permet de maintenir une certaine rentabilité (retour aux 40/42 heures).
Contrôler la mécanisation-robotisation du progrès est un vœux pieux, d’autant que de nouveaux lobbies vont s’étriper pour en prendre le contrôle, comme partout dans ce monde dit libéral (débridé), où quelques-uns peuvent piller impunément. Quand ses cousins les animaux, se reposent et trainaillent à l’aventure une fois nourris, ou broutent paisiblement toute la journée, avec il est vrai, davantage de risques, l’homme, pressé de satisfaire des besoins de plus en plus exigeants, s’impose un travail de forcené, dont profitent certains de ses semblables.
Désormais riche de ses nouveaux jouets, il a bâti et fabriqué sans relâche, défonçant tout, creusant rasant ou perçant territoires et montagnes, brassant par milliards de tonnes pour extraire des matériaux de
construction (plâtre, ciment, amiante..), des métaux, de l’or, du pétrole ou des pierres précieuses, des produits chimiques.
Après avoir cueilli, puis élevé extensivement (nomadisme), il a organisé le monde végétal en cultures, le monde animal en élevage afin d’obtenir en suffisance – pour certains en tous cas – la nourriture et tout ce dont il ne plus se dispenser.
INVESTISSEMENT, FINANCEMENT, EMPRUNT synonyme de DETTES, sont les maître mots. Les actifs sont taxés, les dettes allégées, mieux vaut avoir des dettes m’a conseillé un financier. A condition que tout tourne rond sans soucis pour les remboursements
Plus le pactole s’épaissit, moins on peut payer les gens, plus leur employeur est incertain, si par chance il en on un de relativement identifiable
Le contrôle par l’Etat, qu’il soit démocratique, militaire ou religieux. Le contrôle par l’argent, la puissance, la pression, la menace. Ou les deux à la fois.
Le brevet. Il protège une invention technique. Cela dans le but de laisser l’inventeur bénéficier seul de son invention. Le brevet sur la nourriture est déjà, de mon point de vue, très contestable, car il revient à faire payer des redevances sur des plants, animaux ou produits qui, bien que nouveaux – en bien ou en mal – proviennent de notre mère nature et étaient jusqu’alors courants et sans nom. De mon temps, on achetait une baguette ou une pomme, avec leurs variété, sans engraisser d’autre personne que boulanger ou le paysan et c’était pareil pour le coiffeur.
On voit donc partout s’installer des prises de contrôles dont le but n’est que de pomper les bénéfices sans rien apporter d’autre, sinon de l’apparat. Les pommes étaient aussi bonnes sinon meilleures avant et plus naturelles, la baguette aussi selon le boulanger, et le coiffeur n’était pas sans talent. Mon cordonnier indépendant m’a dit que si il se francisait (s’alliait à un pourvoyeur), cela, se traduisait par un prélèvement de 15% sur ses bénéfices, excusez du peu ! Le problème est que les indépendants subissent des pressions, que leurs approvisionnements deviennent plus difficiles, que leurs charges (taxes et impôts) s’alourdissent, quand leur commanditaire y échappent probablement et vivent de dettes. Un restaurateur indépendant me disait qu’il était un des derniers à résister, mais que c’était très dur. Que gagnons nous avec les prises de contrôle de ces marques et chaînes ? la perte d’initiative du commerçant local, l’uniformisation, la perte de la diversité, donc d’initiatives et créations si chère aux scientifiques !
Avec le brevet sur la modification du vivant, puis sur une caractéristique du vivant existant sans modification, on atteint le sommet de l’insupportable, et les faits qui suivent illustrent bien le propos.
Initié en Amérique, tout le vivant passe peu à peu sous contrôle du brevet. On connaît les plantes vivrières transgéniques, mais assez mal l’insidieuse Bio-piraterie. Un américain a lutté contre ces excès profondément malhonnêtes, issus de la plus grande démocratie,
Alors que les employés des compagnies de bateaux transmanche réagissaient avec grande violence contre le tunnel sous la manche, l’incendie du tunnel leur avait été imputé. Aux USA, il est maintenant interdit de pouvoir porter plainte contre Monsanto (le producteur du gaz sarin, des défoliants (Indochine), de divers pesticides, du maïs OGM etc). En France, pays ultra protecteur des puissants, on protège tout. Directement ou par inertie administrative. Air France est soutenu en interne et c’est pourquoi il a fallu attendre les lowcost anglais, qui sont parvenus à contrer la loi sur de petits aérodromes.
Afin de protéger la SNCF, toute liaison par bus au sein d’une même région est interdite, sauf si le terminal est à l’étranger ! 40% des demandes de lignes privées sont refusées, alors que ce transport coûte moitié moins qu’en TGV ! c’est ubuesque, et ç’est un frein au développement économique
L’espèce humaine a désormais envahi tous les espaces. Tout est revendiqué, tout a un propriétaire, jusqu’au moindre bout de terre affleurant à peine l’eau. Les espaces vierges, la découverte, c’est terminé !
L’accroissement de population est recherché par tous les Etats, car sans une forte population, on ne peut pas occuper, ni influer, tout au moins d’un point de vue géographique, économique, industriel, et surtout militaire.
Aux dernières nouvelles, nous mangerons des insectes, élevés par milliards de milliards, mais que mangeront les insectes par milliards de milliards ? des algues ? quid de leurs maladies à venir ?
Quel est le problème du Maire, entité tangible du citoyen ? Vendre « nos » terres ou casser, pour faire des chantiers et encore des chantiers. Les plus importants possible, car il est également entouré de solliciteurs qu’il ne veut pas décevoir, de tous milieux. Il y a des dessous qui font frémir, par exemple, un bâtisseur se réserve des appartements sur le dos des acheteurs ! c’est de la corruption légale. Des gens en profitent (j’ai eu connaissance de ce système) Il fait ainsi travailler « ses » entreprises locales ou pas, favorisant l’emploi, tout en s’assurant d’un confortable chiffre d’affaire, dont il fera usage selon son honnêteté, et ses nombreux solliciteurs. Au besoin il emprunte. A-t-on besoin de refaire ce qui a été fait il y a peu, d’un immense centre culturel et sportif, alors que les jeunes et les moins s’amuseraient ou se promèneraient aussi bien dans un bois aménagé? n’auraient on pas plutôt besoin de bons logements sociaux agréables, avec balcons et parties communes, cela sans tricherie des bâtisseurs ni prélèvements occultes des politiques ? « vaste débat » où l’écologie et le réchauffement climatique n’ont rien à espérer de sérieux.
Mais que veut le citoyen qui ne veut pas payer, ou progressivement, ne peut plus payer ses impôts et taxes, toujours plus nombreuses, toujours plus élévées ? il veut des aménagements, des fleurs, des distractions, du goudronné sans trous, des bordures fignolées, des routes larges, de la signalisation, de l’information, de la sécurité.. IL VEUT TOUT, LE CITOYEN !
Nos spécialistes, architectes, décorateurs, artistes ou politiques associés, vantent
Elle est souhaitée par les architectes et les bâtisseurs qui, comme on le sait, sont dans la misère ne gagnent sans doute pas assez avec des pavillons ou de petits immeubles sympas, et les politiques qui vouent un véritable culte à l’irraisonnable et au gigantisme.
La densification totale de l’habitat ne serait pas inéluctable si
C’est encore pire pour tout ce touche l’évacuation de nos déchets. Le tout pose des problèmes d’espace, d’hygiène, de sécurité, promiscuité, de bruit, de circulation, d’ordre public, de liberté individuelle, de disparités sociales graves. Tout cela est de plus en plus coûteux pour des économies exsangues, qui empruntent au-delà du raisonnable ou se compromettent avec des sponsors privé.
– L’accroissement de population se produit surtout dans les pays pauvres, et cela, bien au-delà de leurs ressources propres. D’un point de vue économique, le fait que ces pays produisent pour l’exportation au lieu de satisfaire leurs besoins propres, n’arrange rien, car généralement, ils sont privés de ce qui rapporte le plus, la transformation des matières.
L’histoire peut-elle se répéter ? La solution ne viendra pas des multiples déplacements des chefs d’Etats, sommets infructueux et dispendieux du G20, OMC, FMI etc, dont la seule action est de laisser croire qu’il peuvent régler le problème des autres.
Mr Besson, chroniqueur, dit d’eux : « ils nous passent en permanence sur la têtes.
Nous aimerions que de temps en temps, ils se posent parmi nous, dans nos vallées, nos plaines ».
Ce que je rapporte ici, sur la base d’un article du « Courrier International » de déc. 2009, concerne le monde du travail et celui des hommes, qui pour l’heure, s’opposent toujours. Il semble qu’aux USA, là où on l’attendait peut-être le moins, il y ait une prise de conscience nouvelle dans les entreprises et dans la vie tout court. Est-ce passager et dû à la crise ? c’est probable.
L’évolution technologique et la multiplication de sociétés internationales (multinationales) a favorisé la financiarisation de la planète toute entière.
Les financiers ont toujours été les décideurs. Le problème est, qu’avides de profit facile, ils impulsent la déshumanisation de nos sociétés, sans qu’aucun gouvernement ne s’en inquiète, ou tente seulement d’y remédier, vite rappelé à l’ordre.
Tout s’achète et tout est à vendre. Ce n’est pas nouveau; ce qui l’est, ce sont les moyens électroniques dont ils disposent, plus ceux qu’ils ont inventé, et la façon dont ils les utilisent. Avec la complicité des dirigeants. Un petit pays tout entier, ruiné par ses prêts et quelques manœuvres adéquates, pourrait être acheté par un ou plusieurs richissimes chinois qui paierait la dette ! A quand les pays côté en bourse ? il n’y pas de limite puisque les places boursières sont elle-même en bourse ? comment peut-on accepter une telle ignominie ?
Les plus grands ports américains de l’Est sont la propriété d’une société anglaise. Un émirat voulait tout acheter. On peut s’attendre à ce que le port autonome de Marseille soit un jour Américain, Chinois, Saoudien. De même pour Roissy. Il ne s’agit plus là de libre échange, mais d’atteinte à la nation et aux citoyens qui, bien souvent, ont payé. Il ne s’agit pas même d’une marque nationale telle que Perrier, Orangina, les herbes de Provence, le savon de Marseille, passées aux mains étrangères. Coca Cola peut-il être acheté par les chinois ? J’attends de voir !
Protection libérale. C’est un non sens volontaire, car le mot « protection » ne peut s’accorder à « libéral ». Le libéralisme, c’est l’ouverture des marchés d’un pays. Bien comprise, c’est à dire protectionniste, elle concerne toujours les autres, et s’effectue parfois sous la menace. Ce sont les plus forts qui forcent les plus faibles afin de leur vendre leurs produits. Eux, sans en avoir l’air, se protègent par leurs juridiction sur les importations ou les aides internes. Tous s’en défendent. L’anomalie a été soulignée par les états africains qui dénoncent le fait que leurs produits soient taxés ou rendus moins compétitifs du fait des systèmes d’aides qui protègent les pays développés dont les USA.
En ce qui nous concerne, quel avantage aurions nous à laisser envahir par du bœuf aux hormones ou du poulet passé à la javel, tous américain ? Ils continent à faire pression !!
La pression des riches fait que quelques pays pauvres, aux gouvernement souvent véreux, sont volontairement maintenus dans la misère, ce qui permet de s’approprier à bon compte leurs richesses. On réalise vite que l’économie libérale mondialisée conduit les pays « soumis » à la dépendance
économique et la perte de la souveraineté. Le FMI américain en est l’un des acteurs. Les pays d’Amérique du sud s’en sont libérés difficilement et à grands frais pour les peuples, mais vont mieux.
Une solution pour les pays pauvres est l’association des producteurs en coopératives historiques (il y en a de fausses), car celle-ci élaborent des produits à valeur ajoutée et servent également de relais pour les financements et la vente.
Au Brésil, cette année 1999 fut catastrophique pour l’orange, la caisse de 40 kg ne se vendait plus que 0,5 dollars pour un prix de revient de 1,5 dollars. A cette époque, un organisme lié à Max Havelaar (café équitable), a pris contact avec les associations de producteurs et les coopératives. Cependant, Max Havelaart n’est qu’une organisation administrative qui doit passer par les circuits traditionnels de traitement, conditionnement, transport et vente, ce qui en limite sensiblement la portée. L’essentiel des profits lui échappe.
« La création de la Bourse a été décisive car si elle a permis de lever des crédits par souscription, le mal allant plus vite que le bien, elle a surtout autorisé les manipulations les plus sournoises et aussi grave, la prise de contrôle de sociétés convoitées comme un bien courant de consommation, créé par d’autres, avec leur talent et leur travail, sans compter celui des employés, qui sont peu de choses dans l’affaire ». « On achète, on vend, on jette. Certaines sociétés, c’est tendance, dites « start-up » (jeune pousse) sont crées dans le seul but d’être vendues ! »
« C’était un coup bas; comment les états peuvent-ils accepter que des gens s’enrichissent ainsi en spéculent au dépens de pauvres déjà mal nourris ? c’est indigne et crapuleux ! Lorsque ces produits faisaient l’objet d’accords négociés de gré à gré, les possibilités que des intermédiaires en tire profit était fortement réduites ».
« La bourse leur a ouvert des possibilités de gains fabuleux en jouant sur les cours.
STOPPER LA DERIVE FINANCIRERE. Ce n’est pas moi qui le dit, mais c’esr une évidence, « la Bourse ne joue plus le rôle pour laquelle elle a été créé, la levée de capitaux ». Ne participant plus à créer – ou tuant plus qu’elle ne crée – elle devrait donc être supprimée. Pour être plus pragmatique, on pourrait commencer à étendre ce dont on parle beaucoup, qui aurait été entrepris par certains pays, la séparation des banques d’affaires de celles de dépôt (nous, les déposants) afin que l’argent des épargnants échappe au jeu de casino de la Bourse du monde « des affaires ». En deuxième lieu, pour couper court à l’abomination, on lui enlèverait ce qu’elle n’aurait jamais du avoir, dont elle abuse, le contrôle du marché des énergies et les denrées. Cela apporterait de grands changements et l’on pourrait ensuite interdire les spéculations à la milliseconde par programmes mathématiques, car à un instant donné, personne ne sait plus qui possède quoi et d’énormes masses monétaires changent à tout instant de propriétaire.
La ou les Banques qui ont prêté outrageusement à la Grèce – sans vouloir exonérer les dirigeants de ce pays, pas plus que les nôtres en tous cas – sont les même qui ont participé à la falsification des comptes de la Grèce lors se son entrée dans l’Europe. Et les dirigeants de cette, ces banques sont également ceux qui notent aujourd’hui ce pays.
IL FAUT LES ARRETER !
(*) un célèbre avocat et ministre français a même prétendu, pendant la campagne électorale de mai 2012, vouloir les attaquer en justice.
2016. on n’entend plus de notation des pays depuis quelques mois. Il s’est passé quelque chose en toute discrétion, et ce ne peut être qu’une action américaine, toutes ces appréciations en provenant. C’est déjà çà, je ne comprenais pas qu’on laisse faire pareille monstruosité, car ne nous y trompons pas, c’était un coup de force pour faire plier des Etats.
C’est mondial, et surtout américain.
sont-ils atteints de cécité ou d’Alzheimer. Un intervenant fustigeait tous les accusateurs du coût du travail, en toute ignorance des exigences monétaires de placement, des astuces – souvent légales – permettant de ne rien déclarer, du grand banditisme consistant à planquer son fric, du blanchiment d’argent et de tout ce que nous ne connaissons même pas.
Leurs salaires ? c’est celui du talent, disait Alain Delon. « je le vaut bien », annonçait une certaine publicité. « c’est dur d’être patron », a dit M Macron. Jusqu’à quel point ? No LIMIT, ILS s’augmentent sans cesse, « pour leurs bons résultats », disent-ils, et en toute logique, ne peuvent plus payer ceux qui leur ont permis d’y parvenir. Tomber d’un échaffaudage ou dans un cuve bouillante, avoir les poumons pris à 45 ans, des articulations foutues, être au chômage, faire des ménages ou des lits en hôtel de luxe avec des kilomètres à parcourir, travailler la nuit, avoir 4 heures de transport, vivre en sous sol au sous-SMIC, etc, c’est pas pas dur, çà ?
Si l’on avait taxé les moyennes et grandes fortunes grecques, le pays ne serait pas au bord du gouffre. A quelques nuances près, cela peut être étendu au monde entier, dont la France « qui négocie l’imposition des riches (il y a un service spécial « touche pas » pour eux aux finances, connu de toutes les perceptions de France).
En économie libérale, « il faut de la croissance » pour boucler le budget et soutenir l’emploi. Sans cela, pas de salut, on est au bord de dépression. Tout le monde doit donc chanter en coeur les nouveaux commandements :
En France, l’imposition des sociétés est variable et encore variable. Dans l’espace et le temps » pourrait-on parodier ! En Allemagne, l’imposition des sociétés n’est que de 15% et pout toutes;, et ça ne change pas. Mieux vaudrait donc imposer clairement, et supprimer tous les artifices. Personne ne sait faire.
. Le patron et sa famille ne paie rien, ni fournitures, ni timbres, enveloppes etc. Mesquinerie. Voitures, bateaux même sont à l’Entreprise. Il y a même eu un traffic de notes de restaurant qui a été plus ou moins jugulé..
Autre exemple de défiscalisation, on admet une sympathique tolérance pour les plus gros des SUV (utilility service vehicle), véritablement de luxe, mais qui sont déclarables en qualité d’UTILITAIRE au sens propre, donc comme véhicule d’entreprise.
TOUCHE PAS aux fastes royaux et princiers : dorures à la feuille d’or, meubles « d’époque » (et non « de style »), arts divers; cela pour le palais de l’Elysée, de la Lanterne, et même Versailles, investie où « quelques locaux sont utilisés » (c’est beau et riche, n’est-ce pas).
Gouvernement, Assemblée, Sénat, Bercy (réceptacle de tout l’argent de la République !), rien n’y échappe et il en a encore d’autres partout, en France, bien que l’on ait procédé à quelques ventes..
Alors pourquoi pas,
En reprenant l’ensemble de ces postes, sans parler du Rafale, l’avion le plus coûteux jamais, utilisé pour aller survoler quelques bédouins, plus tout ce que je n’imagine pas ici, mais que d’autres connaissent, nous règlerions nos problèmes. Mieux encore en nous occupant sérieusement de la suite. Car là encore, il y a des cadeaux fiscaux, pour ne pas faire trop mal aux truands en col blanc.
C’est pour le moment bien difficile car tous les pays sont endettés jusqu’au cou, Allemagne incluse (mais elle rembourse aisément), merci nos bons dirigeants et conseillers de haut vol, les meilleurs d’entre nous, devant qui nous nous prosternons bas ! ces messieurs de la finance peuvent continuer à jouer au casino à nos frais, personne ne leur dira rien, car si on ne rembourse pas leurs turpitudes, le désastre économique et social qui projetteront leur ombre.
Plus de 800.000 sociétés sont enregistrées aux Iles Vierges britanniques, pour une population de 25.000 personnes.
« Si vous voulez vraiment brouiller les cartes, vous pouvez avoir une société dont le nom s’écrit en caractères chinois ».
Quelques mesures limiteraient bien un peu « les abus », mais pas vraiment, car pour acheter une société avec prête-nom, on vous propose une liste de noms et tout peut aller très vite.
On y apprend comment faire « de l’évasion fiscale et non de la fraude ». Les nostalgique disent néanmoins : « fini le bon vieux temps,
auparavant une société était vendue et revendue et encore revendue et au final, plus personne ne savait qui en était le détenteur.
En l’an 2.000, le FMI estimait que les paradis fiscaux pesaient 1700 milliards de dollars. Mais, selon le Réseau mondial pour la justice fiscale, ce chiffre dépasse les 10.000 milliards de dollars.
Deux fonds spéculatifs sur trois seraient enregistrés dans ces juridictions, pu lesquelles transiterait (fictivement) la moitié du commerce mondial.
Parmi les masses d’argent en jeu, une bonne partie est de l’argent est douteux
(hedge funds) ou sale (argent de la mafia – en principe combattue – argent des paradis fiscaux en général, dont celui du gratin crapuleux de la société, non combattu).
La valeur monétaire considérée est telle que la retirer du circuit fait peur : lors de la révélation des manipulations frauduleuses de la banque américaine Wachovia, celle-ci a négocié pour un montant ridicule et toute velléité de faire justice été abandonnée.
La situation de M. Woods, qui s’était battu pendant des années et alerté les plus hautes autorités, « est devenue très difficile » et toute investigation a été arrêté.
De 2004 à 2007, la banque américaine Wachovia a blanchi 378 milliards de dollars pour le compte de cartels mexicains, ignorant les alertes de l’un de ses salariés, M. Woods.
L’Etat a fermé les yeux devant le risque de déstabilisation monétaire, et celui qui a dénoncé a été obligé de cesser toute enquête, et de partir.
La banque avait une filiale à
Londres (toutes les banques participent peu ou prou au blanchiment, toutes ont des liens ou des filiales avec les paradis fiscaux). « Le blanchiment à grande échelle ne s’effectue pas aux îles Caïman, à l’île de Man ou à Jersey, mais à la City de Londres et a Wall Street« .
Sait-on que tous les vingt-deux jours l’équivalent de la masse monétaire mondiale change de main ? » (années 2010)
En 2007 dans le monde, le volume des fusions acquisitions de sociétés à la Bourse, a atteint 4500 milliards de dollars (3061 milliards d’euros), soit 24 % de plus qu’en 2006. On voit bien que tout s’améliore, dans le plus grand intérêt des peuples.
– Mise à jour 2017. Les plateformes de soins médicaux se multiplient en ligne ! le médecin et son cabinet va donc disparaître. Autrefois, il venait à domicile et fonctionnaient bien souvent en couple, l’épouse assurant le secrétariat. Mais on ne le dérangeait pas pour un bobo car leurs moyens en aice au diagnostic et en possibilté de soins étaient considérablement moindres.
Leur secrétariat st désormais assuré par une plateforme anonyme. On prépare actuellement des centres de mesure robotisés pour prendre la tension et faire des analyses. Le médecin dira alors dites « AH » et prenez une photo de la gorge avec votre smartphone ! vous n’avez rien, ca fait 40€. et vous rappellerez car son temps sera compté ! Comme le dénonce Robin Cook, ce sont des financiers (assureurs..) qui prendont le contrôle de ces consultations d’un nouveau genre, où l’on repaiera à chaque appel.
Et si vous coûtez trop cher aux assureurs, ils vous tueront (livre de Robin Cook)
Comment ?
En imaginant ce qui est demandé par certains, un traitement de l’eau à deux niveaux, l’un pour le lavage, arrosage, douche, l’autre pour la boisson et la cuisine (avec
départ du deuxième réseau de distribution en immeuble ou quartiers).
Deux niveaux également pour l’eau chaude; un préchauffage local immédiat jusqu’à l’arrivée de l’eau chaude du ballon.
En produisant un peu de courant électrique partout où l’on peut en fonction de la technique (y compris sur les toiture de voitures, et se libérer du joug d’EDF !
En organisant des manifs nouvelles non corporatistes sur ce sujet éminemment social, ce qui serait nouveau (Green Peace le fait, complétons les en ciblant un mouvement
populaire et précis)
J’ai cité plus haut le cas des employés de banque, autrefois nombreux et bien payés quand on ne parlait pas de croissance.
Nous le croyons volontiers. Chacun le perçoit au travers des objets de luxe de plus en plus faramineux, des montres à 10, 50.000 euros, des voitures à 300.000, des « »petits » petits » bateaux à 800.000, les ports de plaisance encombrés qui masquent la mer, les terrains de golf qui se multiplient (appropriation exclusive d’immenses terrains en fond d’affaires immobilières) ou
les portables incrustés de diamants. La vente d’un petit objet d’art récemment reconnu comme tel par les experts qui sont entretenus pour, à trente millions !! Des gens qui ne savent plus ou placer leur argent, certains qui pourraient s’acheter un Etat endetté.
DISPARITION DE L’ARGENT PUBLIC, ETATS SOUS PERFUSION qui peinent à assurer le maintien des biens et équipements communs !
Les emplois, eux sont à l’étranger !! ou sous payés en France
On explique bravement qu’il faut délocaliser
(*) Un dirigeant chinois a dit assez justement, « vous nous faites les reproches de la délocalisation, mais ce sont vos industriels qui sont venus chez nous et
nous n’avons pas été les chercher ».
La Chine propose 2,85 dollars la paire de jeans vendue à la douzaine, quand le bon prix normal est de 7 dollars.
Combien paie-t-on un jean moyenne gamme ? c’est ça la mondialisation, le mal vient des occidentaux et de leurs scandaleux profits, pas de la Chine. Et l’on ferme les yeux sur ceux qui vont peut-être
perdre les leurs, et qui seront alors abandonnés à leur misérable destin.
Cela a très bien été résumé par Fernand Rynaud : « un gala organisé au bénéfice des organisateurs de galas ».
Pour être complet, il faut savoir que les USA exercent leur contrôle sur toute entreprise installée hors de leur territoire, non seulement pour la protéger de leurs lois, mais également pour prélever des impôts ! l’épreuve de force va s’avérer difficile. D’autant, comme je l’ai rappelé plus haut, que les bénéfices déclarés sont maigres. Il va falloir s’armer juridiquement pour prouver qu’il y en a !
Total, Michelin, Danone, Renault, Ubisoft.. toutes ont une envergure internationale et de ce fait font produire en « délocalisation naturelle » dans différents pays du monde comme Toyota le fait à Valenciennes ou ailleurs. Cela est tout à fait normal, depuis longtemps et l’intérêt est partagé. Une question est posée : faut-il les soutenir dès lors que la majorité des usines et des employés sont à l’étranger et que tous travaillent pour l’étranger ?
Oui si les bénéfices rentrent au siège français qui paie des impôts en France. Mais si les pays sou-traitants régionalisent comme on veut le faire, les impôts seront payés localement ! Le principe aura tout de même l’avantage de faire payer des impôts à des groupes qui y echappent actuellement. Chacun sera donc gagnant. Cependant, les filiales étrangèrent vont crier qu’on les affaiblit ! la seule réponse serait que le principe soit admis par tous, et là bonjour ! ne rien faire n’est tout de même pas la solution, surtout lorsque l’hégémonie d’une puissance est peasante.
La tentation « des emplois », de la sous-traitance et de l’approvisionnement qui gravite autour, conduit à penser comme l’Angleterre: « l’essentiel est que ça soit chez nous ». Mais on peut aussi y perdre son industrie, son âme et le contrôle de son pays. On comprend maintenant qu’il est dangereux d’abandonner son industrie au bénéfice de la financiarisation.
En l’absence d’investisseurs français, préférant financer les arts, nous vendons tout aux étrangers, sociétés, usines, terres, vignes incluses. Les allemands défendent becs et ongles leurs sociétés, souvent familiales (ça change tout). Chez nous, ce nationalisme, compris comme représentant une unité nationale naturelle – ne confondons pas – est une chose honteuse. On oublie l’essentiel, « rester maître de notre destin et l’inculquer aux jeunes » !
M. Friedman dit,
L’économie de marché entraîne l’économie financière dans son sillage de la démesure. Démesure qui se solde par d’énormes déséquilibres sociaux, à la fois au sein d’un même pays et au plan mondial. Un « pédaleur » de rickshaw indien gagne un 1,5 dollars par jour. A la moindre défaillance, il est remplacé. Beaucoup mourraient autrefois de tuberculose, ou finissaient les membres rompus, le freinage étant la pire contrainte (roman de La Pierre et Collins, « Calcutta »). D’autres sont richissimes pour avoir réussi dans un commerce. Si seulement on pouvait leur faire tirer le rickshaw, rien qu’une fois ?
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