Les ravis du réchauffement climatique

Les ravis du réchauffement climatique
hibis, rien que la réalité

Les ravis du réchauffement climatique


C’était il y a 200 ans, et bien connu !     Clic !

La vue panoramique descend jusqu’au au bas de la vallée, ou coule un torrent côtoyant une route. La vallée s’étend donc à gauche jusqu’à Pralognan et à droite, remonte vers un col, glacier, et refuge. Ma photo est prise côté opposé, pas très haut, là où la pente du glacier s’achevait en 1830, recouvrant tout ou partie des enrochements que l’on voit, route et torrent, jusqu’à ma position ou un plus loin. Et cela tout le long de la vallée, en remontant côté droit, vers ce qui devait être une gigantesque chape de glace recouvrant tout le pole nord, mer incluse, comme pour l’actuel pôle sud (voir image plus bas). Difficile d’imaginer cela. Pareille disparition de glace est relatée à Champigny, dans le voisinage, où l’on se doit de visiter sa très intéressante exposition sur le sujet.

Les « ravis » sauvent la planète du réchauffement et des ordures ! des accords de Tokyo à Davos, on tente d’empêcher les autres de faire ce que nous avons fait, dont raser les forêts primaires, et l’on jure de réduire le CO2 ! Croix de bois, croix de fer, si je mens je vais en enfer. Ils risquent bien de tous s’y retrouver ! La finance, anti écologique s’il en est, resserre son étreinte, et la mondialisation bénie en a pris un petit coup avec le COVID.
Les produits écologiques vrais ou faux , mais chers, ce qui est normal si ils exigent plus de main-d’œuvre, sont en bonne voie malgré une qualité qui paraîtrait parfois très douteuse s’il n’en était pas de même pour les produit courants. L’inflation est désormais presque nulle parce que cachée par une tricherie généralisée Etat-commerce. Seuls les gilets jaunes et ceux qu’ils représentent le savent. Bref, la situation empire ? c’est la faute à tout car tout va mal. La guerre est partout avec nos armes TRES ECOLOGIQUES, sans parler des volcans et des incendies géants, le nombre de produits chimiques explose. Seul le COVID aurait pu – tristement – remettre un peu de bon sens dans l’ensemble des sociétés, un meilleur équilibre des revenus, moins de gaspillage, mais ce ne sera pas le cas ; on piaffe de tout reprendre comme ou mieux encore qu’avant. La finance se porte, bien, la Bourse remonte, les bénéfices aussi. Ca rassure ceux qui font la queue aux restos du cœur, dans les épiceries solidaires, où ils peuvent. Ceux-là se moquent pas mal du réchauffement climatique, car ils se gèlent l’hiver, ne pouvant plus payer leur chauffage, si ils ont encore un logement. L’écologie du réchauffement est perçue comme une nouvelle opportunité de croissance industrielle, sans compter les dessous de l’affaire, depuis que le CO2 a fait l’objet de honteux trafics que personne n’a jugés « nauséabonds ». N’est pas nauséabond qui veut ! D’ailleurs les financiers – ainsi que d’autres truands taxés d’illégaux par les premiers – s’y intéressent fortement, après le secteur santé, prêts à investir dans des projets fabuleux qui pourraient rapporter gros.

LA REALITE VRAIE. Je précise, car la réalité virtuelle a tendance à la remplacer : tout doucettement, il y a eu un glissement subtil de vocabulaire que personne n’a remarqué. ON NE PARLE PLUS de tonnes de CO2, mais on limite le réchauffement à 2 degrés ! on va donc réguler le CO2 comme avec un thermostat, en regardant le thermomètre. Quel thermomètre ? seuls les scientifiques l’on vu..
Bizarre, je crois me souvenir qu’un accroissement de 2 degrés avait été jugé catastrophique. Pour quand, 2050 ? quelle importance, puisqu’à chaque GRANDE REUNION qui a eu UN GRAND SUCCES, on change les dés et on voit trente ans plus loin.

Pour rafraîchir les mémoires et faire douter un peu, rembobinons ; bien avant le CO2, le responsable était LE TROU d’OZONE et l’on avait fait supprimer à grands frais une huile de tous les transformateurs électriques EDF et des climatisations à base de polychlorobiphényles (PCB), de marque pyralène (la clim de ma voiture ne pouvait plus être rechargée). Était-ce pour « le trou », ou la santé, car le produit s’était avéré très nocif après l’explosion d’un transformateur. On ne sait plus.
Ca n’a jamais été revendiqué, puisque ca n’a jamais refroidi la planète. Et pour cause, nous étions peut-être les seuls à le faire en France ou au mieux en Europe, sur 5 milliards de personnes sur terre, mais rien n’a filtré sur ce qu’on pu faire les autres, comme pour Tchernobyl. Le réchauffement s’est alors tourné ver un courant marin chaud, EL NIÑO (nigno), abandonné discrètement, probablement pour la difficulté d’étendre ses effets à toute la planète.
POLLUTION Les pays occidentaux consomment beaucoup il est vrai, et polluent en conséquence. Pour autant, la pauvreté n’empêche pas de polluer aussi un peu/ beaucoup comme la Chine (qui produit pour nous).
l’Afrique ou l’Inde sont toujours nos dépotoirs, avec tant d’autres pays pauvres, sans compter nos champs, rivières et océans. La croissance, anti écologique s’il en est, est toujours à l’ordre du jour et les champs disparaissent. voir aussi Ecologie-1
Distraction; en orient il y a beaucoup de buffles (Asie) et de vaches (Inde) qui rotent du méthane, bien plus puissant que le CO2. Comme quoi si l’on veut, le bilan est bien difficile a faire. Alors quel est notre véritable impact écologique et carboné ? et nous c’est qui ? voilà une autre bonne question.

LE DEBUT DU RECHAUFFEMENT. Le réchauffement climatique a commencé il y a environ 11.000 ans (18.000 dans d’autres lectures), achevant une longue période glaciaire de quelque 100.000 ans (ça remet les pendules à l’heure) . Et cela s’est reproduit de nombreuses fois . voir en bas de page le renvoi vers un autre texte et un graphique des périodes glaciaires.
De moins 20.000 à moins 40.000 (sorti d’Afrique à moins 60.000 ans), notre homme des cavernes, dit de Cro-Magnon, qui aurait préféré les abris sous roche, est une espèce au squelette allégé par rapport à Néandertal, un autre ancêtre plus massif installé en Europe depuis 300.000 ans (nouvelle estimation), se seraient plus ou moins gelés (*) par des températures très basses, encore connues dans certains coins de la planète, tels la Sibérie ou l’Alaska. Ils s’étaient donc installés dans des zones plus clémentes, qui leur permettaient aussi de se nourrir. Pour cette raison, les grottes ornées de motifs animaliers n’existent que dans le sud de la France ou ailleurs, au chaud (relatif) !

(*) Il y a de mini alternances de réchauffement-refroidissement au sein de n’importe quelle période de chaleur ou de froid, qui devraient rendre plus modestes « les moyennes saisonnières » de notre météo, d’autant que notre planète ne connaît pour simplifier que deux états extrêmes, selon l’éloignement du soleil, lié à l’inclinaison de la terre, au plus loin ou au plus près (le plus froid), et qu’entre ces deux extrêmes, ça varie de manière continue avec des soubresauts. Sans oublier que notre planète est un grain de notre galaxie, la Voie Lactée, ce qui ajoute des cycles de millions d’années, et que notre Lune régit une partie de la vie sur terre, et pas seulement les marées. « Lunatique » n’est pas un vain mot.


LA REALITE VRAIE. On sait que le volume des glaces a été très important, la France étant alors à demi recouverte de glaces permanentes. De combien ? c’est simple, car l’on sait qu’au plus froid, le niveau de la mer était plus bas de 150 mètres qu’aujourd’hui et 100/120 mètres pour l’homme préhistorique récent (moins 20.000/25.000 ans (grottes Lascaux, Cosquer).

L’importance des glaciers fait souvent référence à une période voisine de 1800, car elle est encore bien connue et marque le début de la période industrielle polluante. Je cite personnellement 1830 à Pralognan, car pour reprendre la description de mon introduction, il y a des affichettes sur un sentier, aux Prioux, dont les gravures montrent l’ex-glacier remplissant la vallée devant moi. Le glacier n’est plus qu’une petite tranche de glace nappant le sommet de la montagne d’en face.
Un texte de l’affichette correspond à ce que je décris : « les glaciers ont reculé de 1.000 mètres depuis » (1830). comprenez « en hauteur pour atteindre leur pied », pas en distance, ou en épaisseur. J’ai également vu quelque chose de comparable au Canada.

On pourrait en rester là, mais ce n’est pas suffisant pour écarter l’œuvre humaine.
La question suivante se pose donc : quel était alors le niveau des océans en 1800/1830 ?? j’aimerai bien le savoir, car avec ces très importantes masses de glace perdues sur bonne partie de la planète, il devait sûrement être plus bas qu’aujourd’hui, 200 ans plus tard,
Donc, comme moi, vous comprenez qu’avec un niveau d’eau baissé de 100/12O mètres, une énorme quantité de glace s’est ajoutée aux glaciers déjà conséquents de 1800, et qu’en des temps reculés, moins 11.000 ou moins 20.000 ans, de gigantesques épaisseurs de glace recouvraient obligatoirement les endroits ls plus froids de notre planète.


Quels endroits ? le froid n’a pas toujours été là où il se manifeste de nos jours. Peu importe, mon propos est de fixer les idées. Ce qui n’a pas été fait à ma connaissance. C’est très approximatif, mais pas arbitraire, et l’on peut donc s’appuyer sur une référence pour rectifier. J’encourage ceux qui en seraient capables !

INIMAGINABLE QUANTITE DE GLACE – Considérons que les océans recouvraient 70% de notre planète, avec un niveau de la mer qui permettait de passer à pied dans quelques détroits aujourd’hui inondés (c’est connu).
Retenons un manque d’eau de 110 mètres de hauteur pour les 70% de la surface du globe, que je suppose transformés en glaces par les chutes de neige. Cette transformation accroît la hauteur de 10%, soit 121 mètres, qui sont à répartir sur les 30% des terres émergées. La surface des parties émergées étant réduite de plus de moitié par rapport a la surface maritime (70%) , la hauteur de glace fait plus que doubler, soit arrondi à 250 mètres pour faire simple. C’est énorme, mais mathématique.

Cette masse de glace est en réalité à répartir sur les seules aires gelées de la planète, soit le nord de l’Europe, de L’Amérique, de l’Asie, plus les massifs montagneux divers, Europe, moyen Orient, quelques sommets épars, type Kilimandjaro . Côté pôle sud, Amérique, Afrique, Océanie du sud, Asie, les Amériques, le pôle sud.
Je fixe à 30% des terres émergées, celles qui sont recouvertes de glace, ce qui est sans doute trop, soit près d’un tiers de la surface. Cela fait multiplier par 3 la hauteur des glaces ! soit 250 X 3 = 750 mètres de moyenne ! pour 1/4, ce serait encore plus, etc.


Or, si de nos jours les glaces descendent encaissées par l’usure des roches, avec les épaisseurs d’antan, elles devaient plutôt tout recouvrir comme une immense chape, susceptible d’atteindre par places, deux, trois ou 4 kms d’épaisseur – cas du pôle sud, le continent le plus froid qui ne fond pas ou peu (*) – les épaisseurs diminuant jusqu’à fondre, au moins l’été, en limite de fin de glaciation, comme en France, dont seule la moitié sud fondait, la glace recouvrant ensuite tout jusqu’au pole nord. Sauf peut-être pour les côtes bordées d’un courant marin chaud. Bien des pays actuels du nord n’existaient pas, écrasés sous une épaisse couche de glace.
(*) pôle sud, épaisseur de glace de 1,6 à 2 km de moyenne selon les versions, avec un maximum de 4 !). Le graphique ci-dessus visualise cette réalité. En marron, le continent sous le niveau de la mer. L’épaisseur de glace atteint bien 4.000 mètres.

Le pôle nord jusqu’à la France ! aurait bien pu ressembler à cela. Mais qu’était alors le pôle sud, dont le sommet le plus élevé est encore sous 400 mètres de glace, était-il encore bien plus épais en glace ou peu ?

L’enfoncement des plaques côté pôle nord sous le poids de la glace paraît donc certaine, en tous cas pour les pays qui enserrent le pôle nord, lequel est principalement occupé par l’0céan Arctique. Rechercher la carte de l’Arctique sur Internet (Groenland, Canada, Alaska (US), Europe, Russie) . Quel amas de glace recouvrait l’Océan Arctique ? C’est complexe.
Alors que penser des glaces de 1800 que l’on vante pour faire monter la pression ? eh bien c’était de la roupie de sansonnet à côté de ce qui a existé au temps où les lions rodaient encore en France (grotte Chauvet).

ACCELERATION DU RECHAUFFEMENT.
On nous rebat les oreilles avec l’accélération du réchauffement climatique alors que ce n’est qu’un phénomène de masse.
L’inimaginable masse de glace que je viens de définir est peu à peu devenue un simple glaçon, qui fond désormais presque à vue d’œil !
J’ai entendu une fois cette image du glaçon dans les médias. Aurais-je été lu ? ce n’est pas impossible et ce ne serait pas la première fois.

Les accords de Stockholm, Rio, Tokyo, Oslo, Nice le foireux, Paris et je ne sais où encore, ont surtout contribué à produire des nuisances supplémentaires et à consommer inutilement des milliards de dollars qui auraient été bien plus utiles ailleurs. Dont à se préserver de ce qui nous paraît inévitable, sauf période glaciaire de retour comme l’a évoqué une – très prudente – scientifique. – voir aussi les différentes périodes glaciaires


réchauffement 23 janvier 2021 (info à la radio) une nouvelle méthode de calcul prévoit 2 degrés d’augmentation de température si l’on prend les mesures préconisées (limite prévue actuellement), et 5 degrés si on ne les prend pas.. C’est nouveau, mais là, j’attends confirmation.
Personne ne parle de la prolifération de l’homme, de son urbanisation galopante, de ses industries, de la régression des forêts, au mieux remplacées par des bois, de son urbanisation, les villes étant notoirement plus chaudes été comme hiver que la campagne.
Ne serait-ce pas une cause de réchauffement ? un petit demi-degré ? pourquoi pas un degré ou plus quand la planète sera quasi entièrement couverte de villes ? avec des panneaux solaires qui chauffent plus que des champs ou une bonne forêt ?
Une version qui paraît échapper au sens commun.
C’est loin ? en 1950, alors que j’étais jeune, il y avait moitié moins d’habitants sur terre ! les villages étaient séparées par une route unique, parfois sans jonctions intermédiaires et encore moins de zones de ceci et cela. Des champs. Un peu plus tard dans le midi, le moulin d’Alphonse Daudet était au bord d’une de ces routes, à quelques mètres sur un butte de garigue, et j’étais seul à en faire le tour. On voyait alors facilement la Voie Lactée. Cet réchauffement démographique urbain n’est pas une option des scientifiques car il n’y a rien à gagner, ni à opposer. L’incendie géant qui a frappé l’Australie de juin 2019 à mars 2020, dans la Nouvelle-Galles du Sud, « un crématorium austral » selon un chroniqueur, de 18 millons d’hectares (wikipedia). Trois milliards d’animaux tués de l’ours blanc au lézard. Les particules fines rejetées par les méga feux pourraient aussi être nocives pour le climat et la biodiversité, dont l’homme, en raison d’émissions massives de CO2 et de l’exposition aux particules fines. 100.000 personnes ont été évacuées de leur logement. 33 morts.
Australie, Californie, pinèdes artificielles diverses, leurs incendies semble bien désigner l’humain, mauvais gestionnaire de la nature, ou criminel.